H.A.D.È.S

CHAPITRE 13

* Hadès *

Au mais quel jolie p'tit visage est passé par plusieurs émotions avant de s'arrêter sur celle qui m'excite le plus. La colère. Quand elle est énervée, son visage rougis, ses yeux pétillent mais le plus important ses que ses petits seins ronds rebondissement en même temps qu'elle fait des  grands gestes :

- HADÈS !? TU M'ÉCOUTES ?

La voilà qui part de table. En plus trois siècles d'existence, je n'ai jamais rencontré une tel femme. J'ai autant envie de baisers que de la voir mourir. Est-ce que c'est bizarre ?

Je ne prends pas la peine de lui courir après, pour la simple raison que cette pièce est une pièce bouclé. En claire, vous sortez par une porte pour rentrer par la même porte mais qui est placé à l'extrémité de celle-ci :

- Quel espèce d'enfoirés ce type ! Arg !

Eh bah tiens, quand ont parle du loup. Je l'entends râler derrière moi et m'insulter de tout les noms. Mais , je finis mon repas. Après treize minutes, miss grognon à sûrement remarquée qu'elle tournait rassoie face à moi :

- Tu t'es calmer ou tu veux refaire des tours ?

Elle me lance un regard aussi sombre que moi . Je ne sais pas encore ce qu'elle à de spécial cette emmerdeuse au yeux émeraude mais il y à quelques choses de sombre chez elle qui demande qu'à ce que je l'éveil :

- Tu pourras rester chez les mortel trois jours après cela, je viendrai te chercher. Ne te cache pas inutilement car je te trouverai.

- Pourquoi ?

- Pourquoi, quoi ?

- Pourquoi me laisser trois jours chez les mortels ?

- Écoute poupée, je n'ai pas à me justifier. Ni au près de toi, ni au près de qui que ce soit.

Elle lève les yeux au ciel , puis se lève et se raproche de moi doucement tout en me léchant pas du regard, elle est tremper de la tête aux pieds. J'aurais peut-être dû dire à Cerbère d'aller passera ailleurs que au dessus de sa tête :

- Comment faire pour sortir de cette pièce ?

- Il faut me donner quelques choses en échange ou attendre que je veille sortir d'ici.

- Je n'ai rien à te donner.

Fallait pas me dire ma belle, mon regard glisse sur chacune de ses courbes avant de s'arrêter à sa petite tenue en dentelle. Je me lèches les lèvres quand je remarque que ses seins pointes :

- Tu peux m'offrir ta nuisette ou alors nous pouvons faire un jeu.

Elle à les joues qui rougissent. Elle est en hésitation. Vraiment ? Pourquoi ? Après si elle veux que je lui fasse goûter à ma noirceur sa sera avec un grand plaisir. Je me lève, et me rapproche d'elle puis glisse mes doigts dans ses longs cheveux brun.

Je dépose un baisers dans le creux de son cou , ce qui lui donne une légère frisson. Je m'assois face à elle et l'encercle de mes jambes :

- Alors, que décide tu ? Ta nuisette ou un jeu ?

Elle se rapproche de moi , son parfum des champs envahi mes sens . Son souffle tiède caresses mon visage, ses seins son collé contré mon torse. Elle me mordille sensuelle l'oreille puis elle dépose un baisers don mon cou. Je sents son genou s'approche drôlement de mes couilles.

Je la soulève et la dépose sur la table puis mords son cou , son soufle est aussi saccadée et irrégulier que le mien :

- Écoute, ne t'amuses pas à un jeu ou tu risque de perdre. J'aime jouer mais j'aime encore plus gagner.

- Et toi Hadès, ne me prends pas un des tes jouets.

Dit-elle avant de me pousser et de se lever de la table. Dos à moi , elle enlève sa nuisette et me ma jette à ma figure avant de courir pour sortir de la pièce sans même me laisser le temps de matter.

Cette fille est intrépide et je trouve sa extrêmement bendant. Putains ! Il faudrait peut-être que j'envisage de me renseigner sur qui elle est mais surtout qu'elle est son p'tit prénom.