CHAPITRE 11

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* HADÈS *

Elle vient tout juste de s'endormir. Enfin ! L'envie de la gifler pour la faire taire me démangeais de plus en plus.  Elle belle mais qu'est-ce qu'elle parle !

Je défait les chaînes de ses petits poignets fins puis la transporte jusqu'à ma chambre avant de demander à une de mes employés de la changer.  A peine l'employé sortie que   j'enlève tout mes vêtements puis me glisse sous les draps et l'attire dans mes bras.

il est 3 heures du matin,  sa fait deux heures que j'essaie de dormir mais en vain. Elle s'agite comme si elle fuyait quelqu'un ou quelque chose.  Elle à peur et sa se ressent.  J'aimerais savoir ce qui l'effraye.

Elle est blotti dos à moi avec ses petits fesse collé à ma bite.  Putain , j'ai envie de la baiser la maintenant !

Mais , je dois d'abord régler quelques formalités avant. Elle est endormi dans mes bras et moi comme un con , je regarde le plafond en attendant qu'elle se réveil. Elle commence à bouger dans le lit et aussitôt,  je fais semblant d'être encore endormi :

- AAAAAH ! PUTAINS ! C'EST QUOI CE BORDEL ?!? NON... NON..

- Humm...qu'est-ce que tu as  à brailler ?!?

Elle ne me répond pas mais se lève en prenant le drap pour l'enrouler autour de son petit corps que je me fait un mal en plaisir à l'imaginer nu. Elle commence à forcer la porte pour l'ouvrir. 

Je fouille dans ma commode pour  me prendre une clope.  La clope à la main,  je me lève les fesse à l'air et l'allume puis tire ma première lattes tout en marchant vers elle. Il vaut mieux que je me calme sinon elle risque de ne pas pouvoir rester habillée longtemps.  Elle retourne en sentant mon soufle chaud dans le creux de son cou. Nous voilà, front contre front :

- Sache une chose poupée,  ici c'est moi qui décide quand tu sors et où tu peux aller.  Sa ne te sert à rien d'espérer me fuir car une chose est certaine.  Je ne suis pas le dieu des enfers pour rien.

Elle fuit mon regard,  je sans son pou s'accélérer et son désir brûlant de me détruire.  Elle à l'esprit et les idées qui se mélangent , elle  me veux tout autant qu'elle veut me détruire et sa me plaît.  Putains qu'elle me plaît :

- Une chose le dieu de wish. Tu as beau être extrêmement sexy, tu ne restes pas moins un homme.

Et là la destruction de mes burnes,  elle vient de me castré.  Elle se dirige vers la salle  de bain et verrouille la porte à clé. 

Par moi qu'elle va me le  payer,  j'ai les couilles détruits alors que je bandais ! Je sens la rage montée en moi, sans réfléchir  je commence à frapper à la porte de la salle de bain ;

- TU VAS LE REGRETTER POUPÉE !

H.A.D.È.SOù les histoires vivent. Découvrez maintenant