Pourquoi êtes-vous si peu à donner vos avis ? C'est gratuit, simple, rapide et ça fait plaisir.. Déjà que je n'ai pas la motivation de terminer cette fiction alors si en plus, vous ne vous montrez pas, ça n'est pas très motivant.
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(Luke)
Je savais que je l'aimais. Bien plus fort que je ne le devrais.
Je savais que je l'aimais. Puisque sans elle, plus rien n'avait de sens. Elle donnait un sens à ma vie alors que mon existence n'avait jamais eu de signification depuis déjà plus de trois ans.
Elle me faisait redécouvrir des sentiments si profondément enfouis en moi que j'avais oublié à quel point ils pouvaient êtres agréables.
"Et maintenant ?"
"Et maintenant quoi Luke ?"
"On va juste laisser le temps décider de la suite ?"
"Pourquoi est-ce que tu ne la déciderais pas par toi-même ?"
À ce moment-là ? Que voulais-je faire, vraiment ?
J'ai d'abord attrapé mon téléphone portable, mon iPhone, la source de tous problèmes depuis mon arrivée ici et je l'ai fracassé contre le mur de ma chambre, avec une force que je ne me serais jamais pensé capable d'avoir.
Il n'était pas question de la laisser, seule, en la repoussant de ma vie une fois de plus.
Jamais une fille ne m'avait avoué de telles choses. Jamais une fille n'avait été aussi sincère avec moi. Jamais une fille ne m'avait fait sentir important, attirant.
Alors, j'ai fais la seule chose qui m'ait traversé l'esprit. La seule chose que tout mon être me criait de faire, le seul acte, l'unique que je pensais être sûr.
Je ne savais pas comment prouver mes sentiments, je n'avais jamais fait cela auparavant. Je n'avais jamais du montrer à une fille que je l'aimais, je n'avais jamais été confronté à cette étrange situation.
Elle m'avait menti, c'était une chose. Elle avait regardé dans mon portable, c'en était une autre. Mais, surtout, elle venait de me montrer, en quelques mots, qu'elle avait toujours été sincère avec moi, depuis le début, même en ayant lu mes notes suicidaires.
Je suis sortis de chez moi, en furie, les joues en feux et la gorge totalement nouée.
J'avais envie de ses doigts emmêlés aux miens, de sa peau contre la mienne, de son souffle contre mon cou, de ses lèvres plaquées contre les miennes et j'avais envie d'elle, tout simplement, de la voir, de la sentir, de l'entendre, maintenant.
Je la voulais tellement. Beaucoup trop.
Elle était devant son porche, m'ayant vu sortir si rapidement.
Se tenant là, pieds nus, en légère tenue d'été avec ses longs cheveux blonds tombant sur ses épaules dénudées comme une magnifique cascade dans laquelle reflèterait le soleil, je me suis simplement dit qu'elle était belle.
- Tu viens me dire que tout est fini ? lâcha-t-elle en s'avançant d'un pas vacillant.
Elle allait mal. Je le voyais. Je le voyais à ses yeux bleus dans laquelle la lumière ne reflétait même plus, à sa peau terne habituellement si brillante sous le soleil d'été et à sa voix cassée, secouée par la tristesse qui venait faire pleuvoir, sur ses joues chaque soir, de petites gouttes perlées.
Était-ce moi qui la mettait dans cet état ?
Une chose était sûre. Je l'aimais. Je l'aimais si fort que mon cœur en brûler.
Et lorsque nous nous sommes approchés si près l'un de l'autre que même nos souffles chauds pouvaient se rencontrer, j'ai essayé de lui faire comprendre, par de simples attentions, de simples gestes, que je la croyais.
- Non, je viens te dire que tout vient juste de commencer, chuchotai-je, remarquant que je faisais seulement quelques centimètres de plus qu'elle.
Sans réfléchir, j'ai juste approché mon visage du sien et j'ai délicatement plaqué mes lèvres sèches contre les sienne humides de larmes.
Je n'ai pas voulu brusqué les choses. Même si je l'aimais follement, voire un peu trop, ça ne valait pas la peine de rendre les baisers trop brusques.
Mais lorsqu'elle m'a attiré vers elle, m'obligeant presque à glisser mes mains à des endroits que je ne me sentais pas en droit de toucher, j'ai compris qu'elle m'aimait de la même manière. Même un peu trop.
J'avais couché avec elle. Pourquoi étais-je si timide maintenant ?
Sans l'avoir remarqué, tous mes muscles s'étaient contractés. Alors, j'ai essayé de me détendre.
J'ai passé une main sur sa joue, pour stabiliser ce baiser qui commençait à devenir presque trop passionnel et j'ai laissé l'autre venir se glisser dans son dos. Mes lèvres me brulaient, mon cœur battait la chamade et mon souffle, mon souffle, je n'avais plus de souffle. Je n'avais plus aucune prise avec la réalité. Seulement mes mains sur sa peau et mes lèvres embrassant les siennes.
Nous étions tous les deux dans un autre monde, pas ici, au milieu de ce quartier désert un beau soir d'été, non, nous étions dans un ailleurs. Du moins, j'en avais l'impression. Elle m'en donnait l'impression.
J'ai calmé le jeux, revenant à un baiser plus doux, plus légers.
Et j'ai enfin pu sentir mon coeur, correctement, revenant à une respiration plus calme, plus contrôlée. Nos lèvres paraissaient se chercher, se trouver, se perdre, se chercher, se trouver, et à nouveau se perdre.
- Dis-moi que tu restes ici, pour longtemps, me supplia-t-elle, front contre front.
- Je ne peux rien t'assurer. Je peux juste te promettre que même si nous n'avons que deux semaines devant nous, elles te paresseront durer une année tellement nous en aurons profiter.
- Tu es un garçon formidable Luke Hemmings.
Cette phrase a résonné, encore et encore. Comme une chanson sans fin, comme une suite de mots imaginaire et je n'arrivais pas à m'avouer qu'ils m'étaient adressés.
'Luke Hemmings', mon nom résonnait si joliment lorsqu'elle le prononçait. Sa façon de le dire me rendait important, me donner un peu plus confiance en moi.
J'étais passé du minable au gars formidable. La rime y était.
Seulement quelques lettres de différences et pourtant, ces deux mots pouvaient changer toute une adolescence. Ils avaient changé la mienne. Camber avait changé mon adolescence.
Puisque, après tout, il n'y avait pas grande différence entre ces deux mots.
Quatre petits pas.
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voilà pour Luke, pas très étonnant hein, l'inspiration m'a manquée pour cette partie et pourtant, je sais que vous étiez beaucoup à l'attendre mais j'espère malgré tout que vous l'aimez!
dîtes-moi ce que vous en pensez, si vous aimez l'histoire, la fin, la réaction de Luke, son changement durant l'histoire ? Il reste disons 3 parties je pense avant la fin et un petit épilogue pour bien la clôturer.
si vous voulez savoir pourquoi je poste peu en ce moment allez voir dans mon rant book, j'y raconte un peu ma vie. je posterais probablement la suite dimanche soir avec le pdv d'ashton
(j'ai crée un livre de conseils et d'avis sur des films, livres etc.. alors allez y jeter un petit coup d'oeil s'il vous plait)
je vous aime, toutes mes excuses pour l'attente mais c'est compliqué en ce moment pour moi, xoxo
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iPhone ☞ l.h
Fanfiction❝Hé, t'as fait tomber ton portable !❞ - Y'a un code ? -Non. Si seulement ce putain de portable avait eu un code. @emmafiction