AU PÉRIL DE NOTRE AMOUR

Épilogue

Un an plus tard.

-- Bonjour mon amour... murmura Aliyah en embrassant son mari.

-- Tu es toujours aussi belle à l'aube ? Demanda t'il en capturant ses lèvres.

Elle toucha son torse perdue,

-- Je suis heureuse que tu n'as pas été gravement blessé... je sais pas ce que j'adviendrais si...

Il déposa un doigt sur ses lèvres.

-- Non. Ne dit rien. Il me m'est rien arrivé.

Oui, quand Jonathan à tiré, les gardes iront aussi tiré sur lui, la balle avait frôlé l'épaule de Sutton, mais tout allait bien. Son pèreavait été arrêté et Jonathan était mort.

-- Je t'aime tellement Sutton... J'ai peur qu'il n'arrive quelque chose à notre famille.

-- Il ne nous arrivera rien. Et je serais là. Pour vous protégé mon fils et toi.

Elle hocha la tête avec sourire.

-- Désolé d'avoir piqué l'adresse d'Euan sans t'en parler. C'est à cause de moi si leur couple sont sans dessus dessous.

-- Tu n'y es pour rien, je suis sûr qu'ils vont résoudre se mal entendu. Comme nous l'avions fait il y'a un an de cela.

--Tu veux savoir?

-- Quoi?

-- Je t'aime tellement que même si tu étais mon frère je n'aurais pas cessé de t'aimer.

-- Et moi donc? Je suis allé au bout du monde pour prouver qu'aucun lien de sang ne nous unis. Jusqu'au péril de notre amour... Je continuerais à t'aimer, Aliyah.

--Jusqu'au péril de notre amour? Mais chéri notre amour ne va pas périr ni maintenant. Ni jamais.

--Jamais?

-- Oh non je te le jure sur la tête de nos deux enfants jamais.

--Nos deux?

Elle lui offrit un grand sourire, ému, il l'embrassa en la soulevant dans les airs.

-- Sutton, repose moi enfin! 

-- Je suis l'homme le plus heureux ma chérie. Grâce à toi, à ce que je ressens pour toi, et à notre... je veux dire nos enfants.

--Nos enfants... Je t'aime.

-- Je t'aime et je suis fou de toi... je veux bien rester toute la journée ainsi avec toi.

-- Moi aussi, mais je dois aider dans les préparatifs pour la fête de ce soir, t'as pas oublié?

Il secoua la tête.

-- Alors la demie journée?

--Sutton... Insista t'elle lorsqu'il détachait le bouton de son chemisier.

--Quelques heures? Sursura t'il en plaquant sa bouche sur la sienne.

--C'est mieux....