«In the middle of the night in my dreams...»

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(Traduction: Au millieu de la nuit dans mes rêves... extrait de chanson Tayler Swift. Pour ceux qui veulent savoir ces quel chanson, pas que ce est vraiment de lien.)


***Avertisement, les procahines scénes parle d'anxiété, de traumatise et de choc post-traumatise, panique, chauchemard et autres. Si vous n'est pas allaise vous pouvez sauter, si vous viver des situations similaires n'hésiter pas à demandre de l'aide à votre entourage ou il existe de l'aide en ligne, il est importent de parler de santé mental. SVP faite attention.***

Je m'endormi rapidement, après 48 heures sans sommeil s'était prévisible. Mon repos ne dura pas, je me réveilla en sursaut, tous les muscles de mon corps tendus, mes sens en alerte. Je venais de faire l'un de ces rêve qui reprend toutes les expériences traumatisantes qu'on à vécue leur donnant un réaliste accrue. Les morsures ne m'avaient pas donné d'hallucination, mais elle m'avait certainement rappeler mon moment de captivité avec les loups de la Nouvelle-Orléans. Pourquoi fallait-il que cet événement vienne me hanter de nouveau. Ça fait un siècle, je devrait être capable d'oublier et passer à autre chose.


Je sortis du lit en essayant de ne pas réveiller Klaus, pour aller me passer de l'eau froide sur le visage pour me calmer. Malheureusement, cela n'eut aucun effet, et je sentais l'anxiété me gagner. Incapable de penser rationnellement, je m'assie parterre, les genoues près de ma poitrine la tête sur ceux-ci, m'efforcent à prendre de longe inspiration. Je n'avais pas été victime d'une crise d'anxiété aussi grande depuis de nombreuses années.

De façon générale, l'anxiété est désagréable pour ceux qui en sont victimes, mais pour un vampire c'est une vraie plaie. Nos sens qui sont décuplés rendent l'expérience vraiment impossible de se concentrer sur une seule chose, on entend ce qui se passe sur un kilomètre, on voit de minuscule détail et toute ses informations s'ajoutent à nos pensées, on est donc incappable de faire le trie. 

Dans mon cas, je paralyse, incapable de faire de simple tâche comme marcher. Avec le temps, j'ai appris des techniques de gestion du stress qui me permettent de me calmer avant de me rendre au stade de la panique. Comme en ce moment, je suis totalement paralysée, assise à même le sol d'une salle de bain du motel. Ces techniques ne sont pas infaillibles et c'était dans ces moments que je détestais vraiment mon propre esprit. Il devenait in lieu sombre ou tous mes démons se cacahit dans l'ombre près a surgir, j'étais piéger, incapable de m'échaper, sans aucun controle.

C'est également en ce moment que je suis bien reconnaissante que Niklaus ne soit pas quelqu'un qui dort solidement.

Extrait du journal de Klaus

Cela devait faire près de dix minutes que je m'étais réveillé par ma petite sœur qui était sortie du lit. Je n'avais pas ouvert les yeux et j'attendais de l'entendre se recoucher pour me rendormir. N'entendant rien, je me leva à mon tour pour voir ce qu'elle pouvait bien faire en pleine nuit. Comme je ne la vois pas dans la chambre, je me dirige vers la salle de bain, la porte était ouverte.

Elle était assise en petite boule le dos au mur dans le noire, la dernière fois que je l'ai vue dans un état similaire c'était à la Nouvelle-Orléans...Bien sûr, les loups.

La cousine des MikaelsonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant