Luce est la meilleure amie d'Esteban Ocon. Enfants, ils vivaient l'un en face de l'autre et ont développé une relation presque fraternelle. Luce a toujours soutenu Esteban dans son parcours. Comme ce soir, où elle l'accompagne à la soirée de pré sai...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Oscar était paré d'un sweat-shirt, un choix familier pour lui, accompagné d'un bermuda en lin qui mettait en avant ses mollets musclés. Nulle trace de petite amie à l'horizon, un constat qui me combla. Mes yeux, pareils à des papillons amoureux, suivaient chacun de ses mouvements lorsqu'il s'approcha de Carlos pour une brève salutation et récupéra son verre. Il choisit ensuite de s'asseoir sur un transat, légèrement à l'écart, et y déposa son verre. C'est là que le spectacle débuta.
Le temps sembla suspendre son vol alors qu'il ôta son sweat, laissant mes yeux gourmands dévorer chaque détail de cette vision divine. Sous cette couche superficielle, une chemise blanche flottait sur son torse, dessinant le contour de ses muscles grâce aux caresses du soleil. Une onde de désir me traversa, déclenchant un frisson d'émoi qui parcourut ma colonne vertébrale, des racines de mes cheveux jusqu'à la pointe de mes pieds. Son regard parcourait la foule, à la recherche de quelque chose ou quelqu'un. Son regard captif s'arrêta à ma hauteur. Son visage, marqué par l'étonnement et le désir, contemplait chaque parcelle de ma personne. Après ce moment suspendu dans le temps, un sourire éclatant s'étira sur ses lèvres, tandis qu'il me fit un geste timide de la main.
Je poussai un soupir de satisfaction, fière d'avoir eu l'effet escompté. Je lui souria en retour, et ma main légèrement tremblante le salua en retour.
Juste lorsque je m'apprêtais à traverser la scène vivante pour rejoindre Oscar, Carlos surgit devant moi, son regard glissant sur mon décolleté avec une intention non dissimulée.
C: Waouh, Chica, tu t'es surpassée. Allez, viens danser avec moi !
Mon désir de rejoindre Oscar fut momentanément mis en échec par l'insistance de Carlos, qui m'entraîna par la main vers le poste du DJ en clamant : "Suavemente, DJ !"
Je lui offris un sourire amusé et, rejoignant mes mains aux siennes, je me lançai dans une danse endiablée, mon visage rayonnant, mes yeux se perdant dans ceux de Carlos. Mes mouvements reflétaient l'harmonie parfaite entre mon corps et la musique sensuelle.
La danse était mon ultime moyen d'expression, un exutoire me permettant d'oublier tout ce qui m'entourait. Chaque mouvement, chaque tourbillon, étaient une offrande à la passion.
D'autres invités vinrent se joindre à nous, remplissant la piste de danse. Danser avec Carlos me replongea dans de précieux souvenirs partagés, de soirées passées à danser ensemble, que ce soit lors de fêtes ou au sein du paddock.
Je poussai la cadence pour mettre à l'épreuve son talent, ajoutant des pas plus complexes, permettant à nos corps de s'exprimer librement. À la fin de la chanson, Carlos, légèrement essoufflé, m'enlaça chaleureusement, embrassant ma tempe.
C: Merci, Chica, tu es merveilleuse, mais tu m'as épuisé !
Je ris, amusée, et le serrai dans mes bras avant qu'il ne se retire pour récupérer son verre et s'éponger le front. C'est alors que Fernando se dirigea vers moi, le visage radieux, me tendant la main avec un large sourire. Nous nous sommes empressés de danser sur une nouvelle mélodie animée, tournoyant sur la piste de danse une fois de plus.
