ᴶᴬᴰᴱ ᴰᴵ ᴳᴵᴼᵛᴬᴺᴺᴵ
J'ai froid. Massimo a dit qu'il allait revenir me chercher, qu'ils ne me feront pas de mal, mais je sens que lui aussi a peur. J'entends les cris et les coups de feu. Encore. J'ai juste envie que mon grand-frère soit avec moi, qu'il me protège comme il l'a toujours fait avec mama, papa, Francesca, moi et notre petit-frère, Enzo. La porte de la pièce froide et moisie dans laquelle je suis s'ouvre d'un coup. Il faut que je m'enfuie. Je pars en courant, je ne réfléchis pas et ne me retourne surtout pas. Mais je trébuche et tombe. Mes larmes roulent incontrôlablement sur mes joues quand je découvre devant moi, dans une marre de sang, le corps de mon frère aîné.
? - Jade, je sens que quelque chose me secoue le bras ainsi qu'une masse lourde sur mes flanc, eh oh, Jade
- Mmh, j'ouvre mes yeux en grand et les referment directement éblouie par la lumière
Je réalise que j'ai juste fait un cauchemar. Encore le même. La voix raque qui m'appelle n'est autre que celle de Nabil, pareil pour son poids lourd contre moi. Je suis dans son lit. En me réveillant à trois heure du matin après avoir totalement oublié comment je m'étais retrouvée ici, je suis quand même restée avec lui. De toute façon, son bras autour de mes hanches me serrait si fort que je n'aurais pas eu la force de le bouger. Et puis, j'étais bien.
Nabil - Plus jamais t'ouvre les yeuz en grand comme ça, je pouffe les yeux encore fermés et il me fait rouler de l'autre sens pour que je me tourne vers lui, elle est jnounée cette go sur ma vie
- Alors déjà t'as une manière horrible de réveiller les gens, je murmure toujours sans ouvrir les yeux et je sens ses doigts essayer de me les faire ouvrir de force, mais arrête !
Nabil - Ouvre wesh
Je les ouvrent avec difficulté et le voit penché au dessus de moi en train de sourire. Ça m'énerve comment il est beau. Cheveux lâchés, toujours sans t-shirt. J'imagine qu'en plus là, je dois ressembler à une huître avec mon maquillage de la veille.
Nabil - T'avais plus d'énergie cette nuit hein
Cette phrase me fait stresser. Comment lui dire que je ne me rappelle en rien de cette nuit à partir du moment où je pensais qu'on allait s'embrasser, sans briser son ego ? Mais en même temps, j'ai besoin de savoir. En réalisant que je porte un large tee-shirt qui doit lui appartenir, plus de pantalon ni de soutif, j'ai déjà un indice.
- Tu m'as retiré mon soutien-gorge ?
Nabil - Bah ouais
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n.o.s | 𝐆𝐑𝐎𝐔𝐏𝐈𝐄
Fanfiction𝗷𝗮𝗱𝗲 𝗱𝗶 𝗴𝗶𝗼𝘃𝗮𝗻𝗻𝗶 & 𝗻𝗮𝗯𝗶𝗹 𝗮𝗻𝗱𝗿𝗶𝗲𝘂 putain, cette meuf brûle mon cœur c'est grave frère • Emménager sur le pallier de son rappeur préféré, c'était déjà quelque chose. Mais entamer une histoire d'amour ensemble, c'en était une...