Arrivée devant chez elle, Abby se rend compte qu'elle a oubliée son sac.
Derrière elle.
- Djélani : c'est ça que tu cherches ?
- Abby : mais comment... tu m'as suivi ?
- Djélani : tu aurais fait comment sans tes clefs, sinon ? Et maintenant je connais ta nouvelle adresse.
- Abby : c'est bon, donne moi ça ! (elle l'arrache de ses mains) Et ne t'attend pas à des remerciements.
- Djélani : ton quartier à l'air d'être bien.
- Abby : et je suis plus près de mon travail.
- Djélani : je suis rassuré. Bon, je te laisse je vais rentrer.
- Abby : tu ne monte pas voir l'appartement ?
- Djélani : il est tard, une prochaine fois. Amina doit sûrement m'attendre.
- Abby : d'accord.
Elle se retourne et se tord la cheville.
- Abby : Aïe ! Ah ! Aïe aïe !
- Djélani : il y a quoi ?
- Abby : ma cheville ! J'ai mal ! Ah !
Il se précipite vers elle.
- Djélani : tu t'es foulée la cheville ?
- Abby : je ne sais pas. J'ai mal.
- Djélani : je vais t'aider. Tu peux marcher ?
- Abby : ça me fait mal quand j'appuie dessus.
Il l'a porte.
- Djélani : quelle étage ?
- Abby : troisième.
Il l'a fait monter jusqu'à son appartement et il l'a dépose dans le canapé.
- Djélani : tu as de glace ou quelque chose de froid ?
- Abby : oui dans le congélateur. La cuisine est par là.
Abby
Il revient avec un sac de glaçons et un torchon.
Il m'enlève les chaussures, et il le pose délicatement sur ma cheville.- Djélani : ça va ?
- Abby : c'est un peu froid mais ça va. Merci.
Tu peux être un gentleman quand tu le veux !
En fait quand j'y pense, tu l'as toujours été avec moi.
Je me suis toujours senti en sécurité avec toi.
Pourquoi ?- Djélani : pourquoi quoi ?
- Abby : pourquoi tu es aussi gentil avec moi ?
- Djélani : quelle question. Tu es mon amie. Ma petite sœur. Je tiens à toi.
- Abby : moi aussi je tiens à toi.
Et ça me blesse que tu aies cette image de "petite sœur". Tu ne fais même pas l'effort de voir au delà.- Djélani : qu'est ce que tu essaye de me dire ?
- Abby : ne fait pas semblant de ne pas comprendre.
- Djélani : à quoi tu joues Abby ?
- Abby : j'essaie de t'ouvrir les yeux..
Abby
Il a les mains moite et il me fui du regard.
Il perd ses moyens, il pousse ma jambe et il se lève.- Djélani : (venant de comprendre son jeu) tu n'as rien à la cheville. C'était du cinéma ?
- Abby : attend. (ton mielleux) Ne t'énerve pas.
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Amitiés Toxique
RomanceIl m'est arrivé quelques choses de terrible. Quelques choses que je n'aurais jamais imaginée même dans le pire de mes cauchemar.. Quand la trahison vient d'un proche, elle est encore plus douloureuse.. elle brise ton cœur en mille morceaux.. Comment...