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Enfin de retour au bercail après des mois coincé en Nouvelle Zélande avec Max... je n'avais pas franchement prévu d'y passer du temps mais trouver des papiers pour rentrer sans me faire choper par la douane n'était pas franchement évident. Et puis, je n'avais pas connu une bonne baise depuis un moment.

Pas que les néozélandaises ne soient pas jolies ou ouvertes mais j'ai toujours préféré les américaines. Elles ont un je-ne-sais-quoi de semblant de puritanisme qui enveloppe leur vice qui m'excite beaucoup...
Non vraiment... C'est le pays de ce bon vieil oncle sam qui me plaît le plus... particulièrement en matière d'affaires et de sexe.

Et ce soir ne fera pas exception...
Mes hommes peuvent très bien fonctionner sans moi mais une descente dans un de mes clubs me permet d'aller le travail... Et le plaisir. J'y trouve toujours une petite à mettre sous la dent.

En coiffant mes cheveux vers l'arrière devant le miroir de la salle de bain, je checkais une dernière fois mon apparence.
Rien entre les dents.
Pas de poils ou de cheveux mal taillé ou mal placé.
Une tenue intégralement noire, ma marque de fabrique.
Chemise, pantalon et chaussures de ville.
Une élégante montre au poignet.
J'étais satisfait de mon apparence.

Ces mois d'absence avaient du permettre au club de renouveler en grande partie la population de femmes qui y trainent. Ca serait comme entrer directement au paradis.

En arrêtant ma berline sur ma place réservée, je constatais avec plaisir que j'avais fait mon petit effet. Femmes et hommes. Clients comme employés. Tous avaient cessé leur conversation pour me voir m'extraire du véhicule et me diriger vers mon club, le pas conquérant.

La cordelette de velours rouge fut levée juste avant que j'arrive et mon personnel me salua d'un signe de tete.
" Nachal'nik" (patron)
" dobro pozhalovat' domoy" (bienvenue à la maison) dirent ils, tandis que les clients faisaient la queue à l'extérieur en espérant pouvoir entrer dans le club le plus select de la région.

Les lumières tamisées créaient une ambiance propre à la danse et aux discussions intimes. Des groupes de tous âges étaient installés dans les divers secteurs aménagés dans le club.
Une serveuse vint a moi immédiatement, aguicheuse.
" Que puis je vous offrir patron?"
Un sourire amusé naquit sur mes lèvres. Elle n'avait rien a m'offrir ici car tout m'appartenait... a part une nuit peut être?

Je detaillais rapidement la fille. Elle était jolie mais un peu trop offerte à mon goût, tant dans sa façon de m'aborder que dans sa tenue mais après tout... Alors que j'allais céder, une silhouette attira mon attention.

4. предназначение "La Destinée"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant