Le moment est venu où tout s'immobilise,
Je dois effacer ton empreinte de cet esprit en perpétuel mécanisme, je te vois,
À chaque instant, chaque seconde.
Mon esprit s'encombre de souvenirs, s'embrase à l'idée que tu reviennes.Mais je t'ai perdue, tu ne reviendras pas.
Bien que cela ne me déplairait pas.
Par-dessus tout, je ne demande que cela.
Mais je me dis qu'à plusieurs milliards de kilomètres de notre planète, peut-être existe un endroit parallèle, où notre amour perdure.Un amour beau, intelligent, spirituel et empreint d'espoir.
Nous dansions sous la pluie automnale,
Avec cette odeur que nous chérissions tant,
L'odeur de la pluie tombant sur le goudron, le pétrichor.