Le deuil.

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À la tombée de la nuit,
Ton corps s'est refroidi.
L'enfer est venu s'installer,
Et tu as fini par succomber.

Ton souvenir habite mon cœur, 
Dans chaque coin, dans chaque heure. 
Les jours s'égrènent, la peine reste, 
Ton départ, un vide qui me hante et me teste.

Ton absence reste pesante, 
Dans mes rêves, ta présence est vibrante. 
Mais à l'aube, au lever du jour, 
Où lorsque la lune s'évanouit, toujours,
Tu t'éclipses avec mes rêves, 
Et le vide en moi se relève.

Tu me manques.

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