Ça ne m'a pas tué, mais ce soir-là,
J'ai perdu quelque chose en moi,
Cette petite lueur que j'avais en moi,
S'est éteinte, doucement, sans bruit,
Comme une étoile qui s'efface dans la nuit.Elle brillait, si tendre et lumineuse,
Éclairant mes rêves, me rendant joyeuse,
Mais les ombres l'ont peu à peu envahie,
Et la chaleur en elle s'est amoindrie.Ce soir-là, un souffle froid a soufflé,
Effaçant la lueur, laissant tout sombrer,
Et ce, définitivement, un adieu silencieux,
À cette lueur qui me rendait si heureuse, qui a rejoint les cieux.