Y'a longtemps ;un peu partout même dans ma famille,
J'avais cru, parler de la fraternité n'était que rêver dans un tunnel idéal ;
Où le mot n'était que rationnel, et n'avait guère sa place dans le monde réel ;
Réel parce que l'égocentrisme sur l'altruisme comme parfaite vertu brille ;Et supprime dans nos têtes le sens de la philanthropie et de la solidarité,
L'homme devient une phobie pour l'homme, là s'éteint la fraternité.
L'outrecuidance comme qualité détruit l'égalité,
Le « chacun pour soi Dieu pour tous » naît et devient à la clarté.Or c'était réel, mais dans un monde où tous étions matérialiste ;
Chacun devant son destin, la communauté n'était que pour communiquer.
Mais d'ores et déjà je vis le réel de la fraternité avec les altruistes ;
Où la limpidité de l'hospitalité est à la sommité, et tous vivons la générosité ;Pourtant nous n'avons nos préoccupation, mais la bonté est la priorité;
Dans l'essence de la fraternité naît une faculté que l'on nomme charité ;
Qui détruit toute distinction raciale, et rend convergent sans discrimination
Les hommes dans leurs appartenances ethniques, où la haine n'a pas d'occasion.Derlino d'Ogip

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Ma passion poétique
PoesiaLa lecture est un exercice par lequel le lecteur réussit à transformer les indications graphiques en informations claires et distinctes. C'est par une lecture sérieuse qu'on n'acquiert réellement des nouvelles connaissance. C'est cette lecture qui a...