Chapitre 14

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Selem Alaykoum, ça va ? Chapitre 14, j'espère qu'il vous plaira !

Précédemment :

C'était tellement simple pour Ibrah, mais pour nous les filles, c'était trop compliqué. Une ou deux pompes et on tombait par terre. J'étais heureuse, mais je savais que ce moment de joie va finir en pleure. Au fond de moi je le savais.

~ Un moment de joie qui va finir en pleure, mauvaise nouvelle ~

~ Imen es ~

*Appel Morad*

Ibrah : Allo.

Morad : ...

Lui : Déstresses, qu'est-ce qu'il y a ?

Morad : ...

Lui : Je t'ai déjà dit de pas m'impliquer dans tes bails chelou et tu le sais Morad.

À partir de là, j'ai tout de suite compris que Morad demander quelque chose à Ibrah en rapport avec ses affaires de drogues, celles dans lesquelles Ibrah n'est nullement impliqués et évite d'y être impliqués.

Morad : ...

Lui : COMMENT ÇA ? FALLAIT LE DIRE PLUS TÔT, J'ARRIVE BOUGEZ PAS !

Morad : ...

Lui : Envoies ta localisation et le touche pas j'arrive dans 10 minutes.

*Fin appel*

Imen et moi étions assise sur le canapé du salon, on stressais, on ne savait pas de quoi il parlait et ça nous angoissait fortement. En espérant que rien de grave n'est arrivé.

DANS LA PEAU DE IBRAH :

J'étais assis tranquillement au salon avec Imen et Rym quand mon téléphone se met à sonner, je l'attrape et regarde qui est-ce qu'il m'appelle. Le nom de Morad s'affiche, c'est étrange car il n'a pas l'habitude de m'appeler à cette heure-ci.

Je réponds sans me douter une seule seconde de ce qu'il se passera.

*Appel Morad*

Moi : Allô.

Morad : Oh frère j'ai pas le temps là. J'ai besoins de toi maintenant.

Il avait l'air essoufflé lorsqu'il parlait. On aurait dit qu'il a couru.

Moi : Déstresses, qu'est ce qu'il y a ?

Lui : Il y'a eu une descente à la cité voisine et-

Je ne le laisse même pas terminer sa phrase que j'enchaîne avec la mienne.

Moi : Je t'ai déjà dit de pas m'impliquer dans tes bails chelou et tu le sais Morad.

Morad : MAIS P*TAIN FERME TA G*EULE ET LAISSE MOI TERMINER. KARIM IL S'EST FAIT TIRER DESSUS IL PISSE LE SANG. VIENS J'AI BESOIN DE TOI LÀ.

Lui : COMMENT ÇA ? FALLAIT LE DIRE PLUS TÔT, J'ARRIVE BOUGEZ PAS !

J'attendais des gémissements de douleurs derrière le téléphone, c'est sûrement Karim.

Chronique de Rym : Mon kidnapping, pas comme les autresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant