Harry Potter: nouvelle génération

Chapitre 14 : Une descente dans les égouts

- Lune ! Où es-tu ?

Jeanne entendit un vague grognement suivit d'un cri de rage, enfin, elle espérait que c'était un cri de rage, lui répondre et elle courut vers ce qu'elle pensait être l'origine du bruit car, avec la résonnance, on était sûr de rien. Elle arriva dans une vaste salle entourée d'eau et, avec, au fond, une statue qu'elle supposait être de Salazar Serpentard.

Elle y trouva Lune qui jetait avec fureur des pierres dans l'eau. A côté d'elle se trouvait Léna qui attendait qu'elle se calme. Lorsque Léna vit sa cousine arriver elle lui dit que Delphini n'était pas là, qu'il y avait des traces de son passage mais pas assez pour prouver qu'elle était là souvent. Jeanne poussa un soupir de soulagement. Bizarrement, elle ne savait pas pourquoi mais affronter la fille de Tom Jedusor dans la salle secrète de son ancêtre ne la ravissait pas. Elle demanda à Lune ce qu'elle pensait de la Chambre des Secrets. Après tout, c'était la salle de son ancêtre. Elle dit qu'elle trouvait que ses ancêtres avaient des gouts horribles. C'est sous le coup de la frustration se dit Jeanne cela se comprenait, elle avait découvert que sa mère avait essayé de tuer l'ami du frère de son amie, qui est aussi le petit ami de la sœur de son autre amie ainsi que le frère de son amie. Car, en vérité, les sculptures de marbres et les eaux qui les entouraient étaient très jolies.

Harry arriva et appela Fumseck, le phénix de Albus, Perceval, Ryan, Wulfric, Dumbledore et il les ramena à la surface en les portants puis en s'envolant. Mimi Geignarde les attendait et dit :

- Oh Harry ! Pourquoi n'es-tu pas mort, on aurai pu partager mes toilettes !

- Merci Mimi mais, je tiens encore un peu à la vie. Promis, je viendrai te voir.

- A bientôt mon Riry !

- Au revoir.

Une fois sorties, les trois jeunes fille explosèrent de rire.

- A bientôt mon Riry !

Et elle se remirent à hurler de rire. Harry, lui demanda aux filles de se taire car il était minuit passé et qu'ils n'étaient pas censés être ici. Sa fille pensait qu'il voulait surtout qu'elles arrêtent de dire "mon Riry". Les Serdaigle retournèrent dans leur dortoir et alors qu'elle était couchée, Lune rigola et entraina ses amies dans son fou rire. A force de glousser, elles réveillèrent Audrey Jinut qui était préfète en cheffe. Elle leur retira cinq points chacune pour avoir réveillé leurs camarades en pleine nuit.

Dans la nuit, Léna entendit un très grand fracas, elle se réveilla en sursaut et découvrit qu'un tableau était tombé à quelques centimètres du lit de Lune et Jeanne car elles dormaient dans un lit superposé. Elles étaient en train de hurler de peur depuis une bonne grosse minute et se collait l'une contre l'autre en tremblant. Le tableau en question, qui représentait quelqu'un qui venait de gravir l'Aiguille du Midi et où on voyait le Mont Blanc et une mer de nuage, était traumatisé. La personne qui avait gravit la montagne s'était enfouit sous la neige pour se protéger du choc.

Une fois calmée, les deux jeunes filles qui avaient failli se prendre un tableau dessus le remirent en place et se recouchèrent. Léna dit :

- Bonne fin de nuit mes Riry.

Et elle éclata de rire mais s'arrêta instantanément lorsque ses camarades la menacèrent de sauter du haut de la tour d'astronomie et de l'entrainer avec eux. Elle leur répondit qu'elle avait déjà tentée l'expérience il y a peu et que la personne qui l'avait entrainée dans le trou avait mal digéré ce qui s'était passé après. Lune baissa le regard, se sentant visée. Tout le monde se rendormi et, cette fois, personne ne se prit de tableau sur la tête.

Le lendemain, Lune fut convoquée avec ses amies dans le bureau de la professeur Lovegood, la directrice de Serdaigle. On les avait surprises entrain de dire qu'elles allaient aller dans la Chambre des Secrets. La directrice adjointe semblait très en colère et voulait des explications à tout prix. En revanche, elle ne semblait pas vouloir utiliser le véritaserum sur les trois jeunes premières années. Elles leur laissèrent donc le choix. Soit, elles s'expliquaient sur pourquoi elles voulaient y aller, soit elle serait obligée d'utiliser la potion de vérité.