Chapitre 4 : † Meurtre †

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"‭‭O Galates insensés ! Qui vous a envoûtés ainsi ? Pourtant, la mort de Jésus-Christ sur la croix a été clairement dépeinte à vos yeux."

Galates‬ ‭3:1‬


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Après Paris, nos amis prirent un train pour l'Allemagne, après quoi, ils prendraient un autre pour l'Italie, suivant leurs projets.

Brême, Allemagne 22h28 :

Après être descendus du train, ils allèrent à l'arrêt de bus le plus proche, où ils patientaient l'arrivés d'un taxi, même si à une heure pareille c'était complique. Parmi nos amis, certains supportaient assez mal la fatigue et le sommeil. Tatiana, assise avec Jojo sur le banc, s'était adosser sur celle-ci.

- Putain, qu'est-ce que j'ai sommeil, s'écria Tatiana en baillant.
- Le mieux serait, que l'on puisse passer la nuit quelque part, déclara Balthazar.

Maths se retourna vers eux en souriant et en croisant les bras. Son cinéma, amena les autres à se demander quelle était la benne idée qu'il avait à exposer.

- Bon, je sais où l'on peut trouver du logement, déclara Maths.
- Ah bon ? s'étonna Tatiana.
- Mon père est un enseignant, qui donne des cours à mi-temps à Strasbourg.
- Et de plus Maths à grandit un bon moment ici à Brême, ajouta Balthazar.

Maths stoppa un taxi et après embarcation, ils foncèrent vers le sud. Après plusieurs minutes, ils arrivèrent à un orphelinat. Cet orphelinat représentait le lieu, où Maths avait passé partie de son enfance.

À l'intérieur, ils firent la connaissance des résidents et notamment de la doyenne de l'établissement, une vielle dame, que l'on surnommait Oma, ce qui signifie grand-mère en français pour les allemands.

- Salut Oma !
- Mathias ! Comment tu vas depuis le temps mon garçon ?
- Très bien, répondit-il. Juste à tout hasard, ont pourraient rester pour la nuit, mes amis et moi ?
- Mais bien sûr mon garçon, répondit la vieille dame, ici c'est chez toi. Vous pouvez rester ici, aussi longtemps, que vous le désirez.

La journée avait été assez longue et éprouvante pour nos amis, qui pouvaient en paix se reposer sous un toit et dans des draps bien chauds. Alors que tout le monde dormais, une certaine Christina n'arrivait à fermer les yeux, du fait des évènements récents. Elle se rendit au balcon, longeant le couloir qui y conduisait. Ce balcon donnait vue sur la ville, qui était assez beau la nuit. Elle observait cela avec un visage adoucit, et surtout très nostalgique.

- Vraiment magnifique hein ? demanda Balthazar, qui était assis juste à sa droite.

Alors elle se retourna vers lui et le regarda avec terreur. Il se tenait dans un coin sombre, assez pour que celle-ci ne puisse le voir. Il était là à réfléchir, bien avant qu'elle ne débarque.

- Parfois les choses les plus simples sont celles, qui attirent aux mieux l'esprit humain, déclara-t-il, en s'approchant de la jeune fille. Regardons se paysage, il est si simple, mais lorsque l'on le regarde, un sentiment profond naît au fond de nous.
- C'est juste la vision d'une ville avec des voitures, rétorqua Christina.

Le jeune garçon s'adossa sur le balcon et admira les lumières fulgurante des véhicules, des bâtiments...

- Peut-être, mais sache que dans la vie, tout est une question de position ! La vie est un court métrage assez fabuleux, des évènements aux tempérances aléatoires et aux circonstances imprévisibles.
- Si tu le dit, m'sieur le philosophe, répondit Christina.
- Alors dit moi Chris, comment vois-tu la vie ?

L'exorciste : La nouvelle vie de Christina Où les histoires vivent. Découvrez maintenant