Prisonnière

Chapitre IV: Thalia

PDV: Thalia

Et moi qui pensais que c'était de mon père que j'étais terroriser, je me suis bien tromper.

C'est de LUI que j'ai peur... Liam Ford, cette homme qui compte bien jouer avec ma vie.

Il s'approcha de moi avant de me lever et me coller contre le mur, et ressortir son couteau de poche, non...

pas encore je vous en supplie, mon corps supportera pas un seul autre coup de couteau de sa part.

-Tu vas parler? Me dit ce putain d'enfoiré

-JE SAIS PAS OU EST CACHER TES PUTAINS D'ARMES, RELÂCHE MOI!

Je sentis une douleur insoutenable dans mon bras, en tournant la tête je vis son couteau planté dedans, du sang coulait, mon sang coulait, il allait pas s'arrêter toute les parties de mon corps aller y passer et moi avec.

-Ford, je te DÉTESTE espèce de psychopathe de merde! Lui criais je ne pouvant plus contrôler ma colère

un 4eme coup de sa lame se fit sur mon corps mais cette fois, c'était au niveau de mon visage, sur ma joue.

J'étais pétrifier de peur, mon corps trembler, des larmes s'échappa de mes yeux et coula sur mes joues.

Il sortit quelque chose de sa poche arrière, je ne sais pas ce qu'il a pris, je ne veux pas regarder, je ne peux pas.

Je sursauta au contacte du métal froid sous mon pull., il veut me flinguer maintenant?

-Tu devrais baisser d'un ton, prisonnière, je N'AIME PAS les gens insolents dans ton genre, alors si tu ne veux pas avoir ta putain de cervelle éclater en mille morceau tu as intérêt a comprendre qui commande ici, compris?

Je fis oui de la tête étant trop choquée pour réagir, si il veut me tuer il me tuera.

-Gentille prisonnière, tu sais ce qui se passera si tu dis pas la vérité?

Je secoua ma tête négativement, bordel je viens vraiment de me soumettre a un connard comme lui?

Je suis tombée bien bas.

Il me fit un sourire au coin avant de pointer son arme vers ma tête et ensuite sur mon épaule, un bruit sourd retentit et je me suis mise à crier de douleur, cette ENFOIRÉ vient de me tirer dessus! Mes larmes coulent encore plus, je ne contrôle plus mon corps j'ai envie de m'effondrer, mais ce tarer me tient de force, je ne peux pas bouger.

- Ne te rends pas la tache compliquée Thalia, à ta prochaine mauvaise réponse je viserais la.

Et cette fois si du bout de son flingue, il désigna l''endroit entre mes 2 yeux, il allait vraiment en finir avec moi là? Non je peux pas y croire.

-Où sont mes flingues Thalia? Me dit il calmement

-Je ne sais pas Ford...

Je le vis chargé son arme et me visé, il aller vraiment me tiré dessus? je ferma les yeux en signe d'acceptation, un bruit sourd retentit, j'ouvris grand les yeux et les écarquillas quand je remarqua qu'il avait bien tiré mais à la dernière minute il avait changer de trajectoire et avait tiré sur le mur derrière moi.

Il me lâcha et ne pouvant plus supporter cette pression mon corps s'écroula au sol, cette homme me terrorisé, il a un putain de pouvoir sur moi et je préfère mille fois qu'il me tue que de continuer cette torture.

-Je sais à quoi tu penses Thalia, tu veux que j'en finisse avec toi pour que tu puisses trouvé la paix n'est-ce- pas?

En plus d'être taré il lit dans les pensés.Il s'approcha de moi avec un tout autre regard, un regard doux et gentil je n'aurais pas étais dans cette situation je serais peut-être tomber amoureuse de ce gars.

Il posa une main sur ma joue et l'autre sur ma cuisse avant d'avancer sa tête prés de mon oreilles? Son soudain changement de comportement me terrifie et j'ai envie de vomir de stresse.

-Cette paix Thalia je ne te la donnerais pas. Me sussura t-il à l'oreille.

Mes yeux s'humidifia et mon envie de vomir s'accentua, ce gars me dégoûte au plus au point, je le déteste tellement, je le souhaite que du mal voir même la mort...

-Je te laisse 2 semaines max avant de clamsé. Rigola t-il de ses propres mots.

-Et moi je m'en laisse beaucoup plus. Lui dis je en le défiant du regard.

-Bien, dans ce cas prisonnière...

Il s'arrêta pour appuyer sur ma plaies a ma cuisse)

-Le premier qui crève à perdue. Finit-il par dire avant de partir en me laissant de nouveau dans le noir.

Je m'endormis en repensant a ça phrase, qu'est-ce qu'il prévois? Que compte t-il faire? Jusqu'à quand serais je prisonnière de ses folies de psychopathe? Toute ces questions me fatigua et je me laissa glisser sur le sol froid, dur qui a pour odeur rien d'autres que le sang sûrement des anciennes prisonnières. Mes yeux se ferma et je laissa la nuit noire m'emporter loin de tout ça, loin de lui, loin de mes monstres...

«Dort bien mon cœur»