"On appelle ça la déprime"
-mastuAbby
3 juin 2025, paris
Je me lave, pendant que Léo regarde les dessins animé. J'enfile une petit robe noir avec des petites fleurs rouges.
~mon cœur ?
Léo-ouiii ? Il tourne sa tête vers moi.
~viens, à la douche, s'il te plaît.Il se lave, s'habille, se parfume, et se coiffe.
Léo-t'es trop belle maman ! Il me regarde, avec admiration.
~oh ! Merci mon amour, mais c'est toi le plus beau ! Je dépose un baiser sur sa joue.Je me maquille, et lisse mes cheveux.
Je me parfume et enfile mes chaussures, Léo fait de même.Ines toque.
Ines-wesh les gars ! Il entre.
~t'es à l'aise, toi. Je m'approche de lui.
Ines-j'viens tout les jours, alors, oui. Il me sourit et me prends dans ses bras.
Léo-ineeees !
Ines-oh mon gars ! Il dépose un baiser sur ma joue et le prends dans ses bras.Nous sortons et prenons la route.
~arrête toi là, s'il te plaît. J'ouvre ma portière.
Ines-tu vas où ?
~j'vais chez le fleuriste vite fait !
Ines-non mais ab-Je lui claque la porte au nez, achète un bouquet, et retourne dans la voiture.
~vas-y !
Nous y allons, arrivons puis, toquons.
Mère d'Ines-oh ! Abby ! Ca fait si longtemps !
~oh oui ! Je la prends dans mes bras.
Mère d'Ines-tu m'as manqué !
~toi aussi ! Tiens ! Je lui rends le bouquet.
Mère d'Ines-oh, merci Abby ! Et c'est qui ce p'tit chou ? Elle se baisse pour voir mon fils.
~je te présente Léo, mon fils ! Je l'admire.
Léo-bonjour !
Mère d'Ines-bonjour mon chéri ! Il est magnifique ! Elle me regarde.
~merci !
Mère d'Ines-rentrez ! Elle nous fait entrer. Et toi Ines, ça va ?
Ines-tranquille. Il lui fait la bise. Ça va papa ? Il entre et salue son père.
Père d'Ines-oh mon fils ! Il lui fait la bise.
~bonjour monsieur ! Je fais de même.
Père d'Ines-oh Abby !
~vous vous souvenez de mon prénom ? Je ris.
Mère d'Ines-ah oui ! T'es bien la seule dont il se rappelle !
~ça me fais plaisir !Je souris à Ines, qui le fait depuis le début de notre conversation.
Père d'Ines-j'attends votre couple depuis longtemps, moi ! Enfin.
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him and I II
FanfictionUne larme coule sur sa joue. C'était la première fois que je le voyais pleurer.