POV Hongjoong
Le vent soufflait dans mes cheveux. La ville était agitée et le ciel recouvert de nuages. Pourquoi agitée ? Et bien, qui va être tué ce soir ? Un homme d'affaires ? Une femme ? Un orphelin ? Le président peut être. Je ne sais pas encore. Je suis perché sur le toit d'un immeuble de la ville, observant, le ciel rouge sang me donnant comme un feu vert. 19h46. Dans 14 minutes, je passerai à l'acte, je planterai la chaire avec mes couteaux et comme d'habitude, je serai poursuivis par la police mais je leurs échapperai avant qu'ils n'arrivent sur les lieux. Oui, chaques nuits je tue. C'est mon travail après tout, comment faire pour survivre ? Je suis mon propre maître, je tue qui je veux et je ne prends jamais les demandes. Car dans ce monde là, les hommes sont avides de pouvoir et salement avare. L'argent, l'argent, l'argent et la vengeance. Y a-t-il autre chose qui leurs feraient plaisir ? Non. Alors je ne suis pas rentré dans se moule et je suis devenu tueur en série et comme une émission, chaques nuits du sang coule sur ma lame et un mort de plus dans la liste de la ville. Qui suis-je ? Je peux être qui je veux. Je peux être un simple étudiant comme le garde du corps d'un président. Je peux être au pauvre adolescent comme le plus riche des partisans. Ma vie n'est continuée que de rôle et de mensonges, puis viens le sang. 19h51. C'est bientôt l'heure. Qui sera ma cible cette fois ? Je regarde en bas, seulement cinq personnes marchent dans la rue. Avec le bruit des meurtres répétés les gens ne sortent plus de chez eux, sauf les petits audacieux qui n'en on rien à faire. Tueur ou pas, ils y vont. Très mauvais choix. Mes yeux se posent sur une fille, enfin un jeune adulte peut être de mon âge qui s'arrête et force un jeune garçon de peur être 10 ans de moins qu'elle à l'embrasser et le force à la toucher en pleine rue. J'ai ma cible. J'ai beau être un tueur, ça ne veut pas dire que je tue sans intérêt. Elle n'a pas le droit de faire ça et encore moins le consentement du gosse. Heureusement à cause du monde qui commence à sortir des voitures, elle lâche prise et traverse la rue, se retrouvant de mon côté. Tu me mache le travail merci. Je n'aurai pas à te suivre pendant des heures. Elle prends un rue étroite à quelques bâtiments de là où je suis. Je me lève, prends de l'élan et saute sur l'immeuble d'après, beaucoup plus petit, puis saute à nouveau en glissant sur le verre et arrivant dans la rue plutôt discrètement pour un descente de 30 mètres. Elle est au bout de la rue et ne m'a pas vu. Tant mieux. Je commence à la suivre, le plus discrètement possible. Elle empreinte des rues sombres et non peuplées, alors je fais la même chose et connaissant les cartiers comme ma poche, change de chemins quelques fois. Au bout d'un moment, son téléphone vibre et elle décroche lanssant un appel. De ce que j'ai compris, c'est un mec qui l'a payé pour la nuit et devait se rendre chez elle mais il a perdu l'adresse et lui re demande. Comment te remercier mon ami ? Tu viens de me l'offrir sur un plateau. Dès que j'ai entendu l'adresse, je fait demis tours et monte aisément sur les petits bâtiments autour de moi. Elle habite en banlieue mais la banlieue rapprochée de la ville. Avec mon agilité et mon aisance dans les airs, j'arrive chez elle en moins de 3 minutes. 19h56. Dépêche toi de venir sinon je serai en retard. Son bâtiment n'est pas grand mais il est à découvert. Je prends le risque. Je repère l'étage. Donc 6eme étage, porte 1387, côté sud. Je trouve facilement sa chambre et par magie, sa fenêtre est ouverte. Je ne me fis pas prié et m'intrusi dans l'appartement, enleva ma chemise pour que ce soit crédible. Une fois sa de fait je sortis deux petits couteaux de chaques manches de ma chemise et les pris dans mes mains. J'attendis environ 2 minutes avant d'entendre le verrou de la porte et de la voir entrer dans la maison. Elle soupira et posa son sac sur le porte manteau, enleva le siens et allait continuer quand elle me vis. Un sourire se dessina sur ses lèvres.
- Tu es bien en avance.
Je ne dis rien mais lui fis signe d'avancer et elle fit, se déplaçant d'une manière qui se voulait attirante. Je me retenais de lui sauter dessus et de l'étrangler mais je me retins et j'attendis patiemment qu'elle soit à ma portée. Elle rapprocha nos visage et observa le miens, de l'incompréhension sur son visage.
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FanfictionHola las fritas, Petit (vrm petit ) recueil d'OS qui de base était un calendrier mais tranquille. Donc il n'y a que des OS BL et GL ( donc pas de couple hétéro ). Il n'y a que des happy end. Il n'y a pas de couple en particulier donc c'est des hist...