Chapitre un

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Les vacances d'été ce finissent sur une bonne note, ma mère et moi au diner de Tiana. Mon endroit préféré dans ce monde.
Ces deux mois était beaucoup trop court pour moi, je n'ai pas assez  profité de maman.
- Je vais prendre une salade Caesar Tiana, merci, annonce ma mère.
- Parfait, et toi ma puce ?
- Un double cheeseburger, et un milkshake à la fraise.
- Maya !
- Je suis en Hypo maman.
- Et tu sais comme tu et mal au point après chacune de tes crises ?
Elle a raison, je fronce tout de même les sourcils pour montrer mon mécontentement et annule mon milkshake.
Le diabète me suit depuis que j'ai cinq ans. A l'âge ou les petite filles manger des barbes à papa à la fête foraine ou ce goinfrer de bonbons aux anniversaires, je devais suivre mon alimentation strict de diabétique.
Cinq fruit et légume par jours. Je déteste cette fameuse phrase.
Les piqures d'insuline dans mon ventre et pour moi une routine, matin et soir.
Cette putain de maladie me gâche la vie depuis toujours, je vie de restriction en restriction.
Pas de sucreries, ni de soda, ni de beurre, ni de si ni de ça.
Mais je n'ai pas envie de mourir à cause d'une hypoglycémie sévère alors je me tais.
Il et près de quatorze-trente lorsque ma mère m'accompagne à la gare de Philadelphie, cette vie ou j'ai grandit pour rejoindre New York et précisément l'université de Columbia. J'entre en deuxième année de journalisme. Je suis assez impatiente de retourner là-bas, retrouver ma meilleure amie que j'ai rencontré sur le campus l'année passer.
Mon coeur ce met à battre fort dans ma poitrine lorsque je repère la carrure de mon petit ami, assis sur un banc dans la gare ça valise à ces côtés.
- Isaac ! 
Ce dernier lève la tête vers moi, son sourire s'élargit lorsqu'il me reconnaît.
Je trottine jusqu'à lui et saute dans ces bras, mes lèvres embrasse chaque recoins de son visage. Il m'avais manquer.
- J'aimerais... tellement.. respirer ! Souffre t'il.
Je rit au éclat lorsqu'il me pose au sol et me vole un baiser, il salut ma mère et reviens vers moi.
- Tu m'attend ici depuis longtemps ?
- Peut être une vingtaine de minutes.
- Désolé, nous sommes aller déjeuner maman et moi.
- Ce n'est pas grave maya, me sourit t'il.
L'alarme de mon téléphone me fait sursauter, je le sort de la poche arrière de mon jean.
- Nous devons y aller, le train va partir dans cinq minutes.
Nous montons tout les trois près du quai, Issac embrasse poliment ma mère puis il entre dans le train. Je me retrouve seule avec la femme qui m'a élever bras dans les bras.
- Prend soin de toi ma chérie, n'oublie pas ton insuline.
- Oui, tout va bien ce passer maman, nous sommes déjà passer par là tu te rappelle ? Et tout c'est bien passer.
- Tu a raison, je t'aime ma fille.
- Moi aussi je t'aime maman.
Je la serre fort dans mes bras jusqu'à blanchir le bout de mes doigts et je monte à mon tour dans le train.

Deux heures de train plus tard, me revoilà à New York. La rentrée a l'université et dans trois jours. Isaac et moi montons dans un taxi, mon petit ami donne l'adresse de son appartement et il ce met en route.
Nous arrivons à son appartement une demi heures plus tard. Exténuée je laisse traîner ma valise dans le couloir pour me jeter sur l'énorme canapé en U.
Un beau sourire afficher sur son visage le beau brun s'approche de moi. Il et a quelques centimètres au dessus de moi puis il aspire ma lèvre inférieur dans ça bouche.
- Ce que tu ma manquer Maya.
- Moi aussi tu ma manquer, beaucoup..

Le corps mouillé je sort de la cabine de douche et enroule une serviette autour de mon corps. Je me suis retrouvé seule ce matin dans le lit d'Isaac.
Après mettre habiller et pris mon insuline je rejoins la cuisine ou je me sert une tasse de café.
Le dring incessant de mon portable me fait rouspéter, mais le visage d'ange de Zoé qui s'affiche sur l'écran me donne le sourire.
- Salut, toi
- Salut, alors de retour ?
- De retour, affirmé-je, et toi prête pour tes neuf heures d'avion ?
- Pas du tout, en plus j'ai mes règles j'ai envie de mourir...
Un rire que je penser discret sort d'entre mes lèvres.
- Je te déteste Maya.
- Et moi je t'aime, alors reviens vite tu ma trop manquer.
- Toi aussi, je te laisse je vais embarquer à dans dix heures.
Elle raccroche, je sourit en secouant la tête de gauche à droite. J'aime cette fille comme ma propre soeur c'est dingue.

Je croque dans une pomme lorsque je remarque ma piqûre d'insuline poser sur le comptoir de la cuisine en marbre.
L'année passer ma mère me payer mes frais médicaux, mais après ça démission je doute qu'elle puisse encore m'aider à payer mes médicaments.
Je m'approche alors de l'ordinateur d'Isaac et commence à crée mon CV personnalisée.
Il faut que je trouve du boulot, un job qui pourrais matcher avec mes horaires de cours de cette année.
Avec le prix des médocs, le loyer, les courses et sans oublier mes petit plaisir de la vie, j'ai impérativement besoin de travailler.

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