Liam.
Plus de deux semaines plus tard, je n'ai aucune nouvelle de Maya.
J'ai essayé encore et encore de l'appeler en continuant de tomber sur ça messagerie.
Nous sommes en déplacement Enzo, Max et moi ce matin pour rencontrer un client.
Un dealer connu sur New York qui veut s'armer pour ce protéger de ces ennemis.
Nous le rencontrons dans son appartement, un endroit miteux dans le quartier d'Harlem.
L'homme nous accueille maladroitement à rentrer, totalement défoncé.
- Fessant vite, ordonné-je
Max ouvre la manette pour présenter les deux armes que nous avons apporter avec nous.
L'affaire ce fait rapidement, il nous pose quelques questions sur les armes puis nous paye.
Dans la voiture assis coter passager, Enzo semble nerveux.
- Qu'Est ce qu'il t'arrive ? Lui demande-je
- Rien, je-
Il ce fait interrompre par son portable qui sonne, je jette un coup d'œil à l'appareil et y vois le nom de Maya s'afficher.
- Pourquoi elle t'appelle ?
- On devait ce voir, je voulais prendre de ces nouvelles.
Je me met à rire nerveusement.
- Où est ce que tu aurais dû la voir ?
- À l'université.
- Quand ?
- Au déjeuner je-
- Tu n'ira pas, dit-je.
- Liam, Maya et devenu une amie rien de plus elle-
- Je m'en fou, tu n'iras pas.
Il râle à ma droite mais je ne répond rien. Si il penser que j'allais le laisser aller la voir alors que j'attends de ces putain de nouvelles depuis pratiquement trois semaines il ce plante le doigt dans l'œil.
- Le client de demain m'a répondu, il réclame un "AK 47", Annonce Max à l'arrière du véhicule.Au alentours de midi trente, je m'aventure sur le campus de l'université Columbia en cherchant Maya du regard.
J'ai déjà fait le tour de la cafétéria deux fois et je ne la vois toujours pas. J'attrape mon portable dans ma poche et appel mon meilleur ami.
- Ouais ? Me répond t'il.
- Où est ce que vous deviez vous rencontrer ?
- Elle ma parler d'un parc sur le campus je-
Il ne finit pas ça phrase que je lui raccroche au nez, j'attrape le premier étudiant et le questionne sur ce parc.
Lorsque j'arrive près du parc, mon regard et directement attirer par ces cheveux brun volant dans l'air. Debout sur un petit pont sous une mini rivière. Son corps magnifique et malheureusement couvert par un trench ouvert sur une robe pull noir, elle porte des collant ainsi que des cuissardes noir elles aussi.
Je m'approche d'elle, mais lorsqu'elle me vois arriver elle lève les yeux au ciel et quitte le pont.
- Arrête de me fuir, réplique ma voix rauque.
Elle ne répond pas et continue de s'enfuir loin de moi, son odeur fruitée qui m'avais tant manquer passe sous mon nez, je deviens fou.
Rapidement, je m'avance vers elle pour l'arrêter, j'attrape ça petite mains froide dans la mienne.
- Te souviens tu de ce que je t'avais expliquer, lorsque tu voulais démissionné.
- Lâchez-moi.
- Si je te lâche, ça sera ton copain qui souffrira, murmure-je près d'elle.
- Je ne reviendrai pas.
Je lève les yeux au ciel et souffle pour exprimer mon mécontentement.
- Parfait, ne viens pas pleurer à chaude larmes quand tu retrouvera ton amoureux avec une balle entre les deux yeux, la menace-je.
Elle hésite je le vois, elle a intérêt à hésiter, moi je ne le ferais pas il sera mort des l'instant où elle refusera.
- D'accord, je reviens, mais laissez Isaac et Zoé en dehors de tout ça, me supplie-t'elle.
- Nous avons un accord ?
- Oui, nous avons un accord, affirme-t'elle.
J'hoche la tête et m'apprête à repartir, mais je me tourne à nouveau vers elle. Pointant son bras du doigt.
- Comment vas ton bras ? Lui demande-je.
- Mieux.
- Bien, l'homme qui ta blesser ne sera plus au Rosa, l'informe-je.
- Pourquoi cela ? Me questionne-t'elle.
- Je les tuer.
Elle recule de quelques pas sous le choc de mon annonce.
Je n'allais pas laisser un homme qui l'a toucher et blesser, respirer, c'est insensé voyons.
- On ce voit vendredi soir, mademoiselle Moretti.
Et je m'en vais.
Son regard me suit tout le long jusqu'à arriver sur le campus. L'odeur de son parfum me suit dangereusement.
VOUS LISEZ
The heart of hell
Roman d'amourA l'université Maya qui mène une vie ordinaire d'étudiante sans ressources n'arrive pas à joindre les deux bouts. Entre ces frais médicaux qu'elle doit payer tout les mois du à ca maladie, son loyer... la jeune femme veut à tout pris trouver un job...