Chapitre 10

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Les ronces se prenaient dans le pelage de nuage de braise, celui-ci courait aussi vite qu'il pouvait pour arriver à la frontière avant les guerriers.

Il voulait être sûr que nuage de fleur est bien était enlevé par le clan des marais, sa sœur n'était pas du genre à suivre un chemin très droit et elle n'était pas non plus très attentive, et nuage de braise eu peur qu'elle n'ait passé la frontière par faute d'inattention.

Bientôt, il sentit une étrange odeur, une odeur d'eau croupie et de champignons, c'était bien la frontière avec le clan des marais, à partir de là les arbres devenait moins grand et avait de moins en moins de feuilles.

Les feuilles traînaient misérablement dans l'eau des grandes flaques qui parsemaient toute l'étendue du territoire.

Nuage de braise mit la patte en plein dans l'une d'elles ce qui l'éclaboussait en entier, l'odeur âcre de l'eau commençait à lui prendre la tête et son pelage mouillé le dérangeait, mais il continua à avancer jusqu'à presque toucher la frontière.

L'apprenti huma l'air, mit à part une fine odeur de sa sœur qui disparaissait dans un buisson de baie violette : aucune trace d'elle, il n'y avait également aucune odeur du clan des marais.

Décider de retrouver sa sœur, nuage de braise suivit la piste d'odeur, par moment, c'était comme si nuage de fleur avait voulu la cacher, mais pas totalement.

Soudain, alors que l'apprenti arriva à l'orée de la forêt, un aboiement retentit. Nuage de braise s'aplatit au sol tétanisé, les chiens allaient-ils le tuer ?

les larmes du destinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant