Ils m'ont construit. Ils m'ont détruite.

Chapitre 47

Enfin je suis de retour à ma deuxième maison chérie.. Enfin je me serais bien passé de ce moment..Anthony endormi sur un des fauteuils. Et Thomas qui me regarde une nouvelle fois alcoolisé.. Je me lève prends mon sac sort mon cahier de math pour finir pars m'asseoir sur le canapé pres de la table basse. Et commence à regarder mes exercices que Monsieur Gillas m'a donné à faire une nouvelle fois. Thomas viens s'assoir près de moi.
- Des maths c'est de la merde. Viens ont vas dans le jardin. S'il te plaît.
Je secoue la tête négativement lentement. Je vois Thomas s'approcher de moi lentement.
- J'ai promis à mon prof de faire un effort..
- Ah oui?
Il viens ce positionner derrière moi et me prendre dans ces bras pour poser son menton sur mon épaule. Je sent rapidement l'odeur du pâtis. Je prends mon stylo et commence à travailler même si j'ai pas très envie je dois bien l'avouer. Après quelques minutes je sent un baiser dans mon cou. Je fige en s'entend ce contact.
- Thomas...
Je me tourne vers lui surprise. Mais il regarde mon cahier. Il a un léger sourire timide malgré l'alcool. Au bout de dix minutes Thomas attrape mon stylo et modifie mon écrit.
- C'est mieux comme ça.
Je sourit légèrement et hoche la tête.
- C'est vrai mer..
Je m'arrête s'entend des frissons me parcourir. Il libère mon oreille et fixe de nouveau mes devoirs.
- Pas besoin de me remercier.
Je fini pars me concentrer de nouveau sur mes devoirs. Après une heure je sent je vois Thomas boire une nouvelle gorgée et soupirer. Je sent très rapidement ces mains autour de ma taille.
- Tu as quoi d'autre ?
Je ferme mon cahier et je sent mes joues chauffé légèrement.
- Bah alors?
Je baisse les yeux et mes cheveux tombent devant moi. Aussitôt je sent ces doigts les relevés avec douceur. Puis embrassé ma peau rapidement je me fige de nouveau. Je le sent remonter ma robe pour finir pars faire glisser ces doigts sur ma culotte.
- Thomas..
Je le sent mordre ma peau. Mon corps montre son plaisir en frissonnant
- Je peux te donner des cours..
Je ferme les yeux. Anthony et pas loin.. Anthony.. Non et puis.. Ma gorge et nouée je ne peux plus réagit je suis terrifiée. Thomas.. Il glisse ces doigts sous le tissu et rapidement joue avec mon clitoris. J'agrippe aussitôt le tissu du canapé.
- Thomas je... S'il te plaît..
J'ai pas le temps de le repousser que je sent deux doigts rentrer rapidement en moi et coincé mes jambes avec les siennes. Et ces doigts tourné en douceur autour de moi. Je sent cette chaleur et ce plaisir. Il me colle à lui tire légèrement sur mes cheveux. Il plante son regards dans le mien sourire et embrasse le coin de mes lèvres. En quelques minutes je me retrouve dans un état pitoyable. J'émets un faible soupire de plaisir. Ce qui fait ricaner Thomas.
- Chuuut. Tu es pas discrète il vas t'entendre..
En entendant cette simple phrase mon corps ce tend et mon corps s'écroule dans ces bras. Mais rapidement les larmes montent. Je descends rapidement ma robe et range mes affaires pour me rendre dans la chambre de mon papa. Mon papa Enzo.. Pour m'allonger très rapidement dans ces draps et prendre un de ces oreillers et le prendre dans mes bras et enfonce mon visage dedans.
- Papa...Tu me manques..
Les larmes finissent pars couler jusqu'à m'endormir péniblement.
Je me fait réveiller pars un Anthony inquiet et bien réveillé.
- Qu'es qu'il ce passe?
Je me mords les lèvres tout en regardant dans le vide.
- Thomas..
Je vois Anthony s'allonger près de moi et me regarde droit dans les yeux.
- Dit moi tout...
J'hésite quelques minutes et lui explique honteusement. Je vois son regard ce remplir de rage haine et colère. Mais il me prends dans ces bras.
- Repose toi mon amour. Je vais aller...Lui parler.
Il remonte la couverture sur mes épaules et embrasse mon front. Pour partir aussitôt. Pour entendre hurler Anthony quelques secondes secondes plus tard. Je me redresse paniquée aussitôt. Ces mots sont dur et cruel.. Je me lève aussitôt et descend paniquée. Je vois Anthony qui tiens Thomas à quelques centimètres du sol coller au mur avec des futurs hématomes et la lèvres qui saigne.
- Lâche le. Maintenant. Vous débiles tout les deux.
Anthony lâche aussitôt Thomas qui tombe. Et me regarde terrifié.
- Les...Je..
Je soupire et remonte aussitôt triste énervée et angoissée. Puis fini pars fermé la porte à clé. Ils sont débiles et méchants.