Chapitre 4: Shopping

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Russie
14h50

— Eh, eh, eh. Ta-gueule ? Dis-je,

Je me suis réveillé ce matin en constatant que ce petit enculé d'Adonis allait partir avec MA voiture. Pour quelle raison je n'en sais rien. Je me suis réveillé quand j'ai entendu le bruit de mon moteur, il a commencé à jurer, alors que je venais de me réveillé, un fou ce type.

Parce que oui, j'ai dormis dans une bagnole.

PUTAIN ! Tu foutais quoi dans ta voiture ? Dit-il en me regardant dans le rétro viseur.

Je baille.

— Justement c'est ce que je me demandais, qu'est-ce que tu fous dans MA bagnole ? Non parce que à preuve du contraire c'est bien ma caisse que j'ai payer avec mes mains.

— Je dois faire des courses, et comme tu l'as bien remarqué nous nous sommes fait attaquer hier, et m'a bagnole n'arrive pas avant demain.

— Ouais, trouve mieux comme excuse la prochaine fois que tu essayes de me voler.

Je me rallonge, il souffle lourdement.

— Je n'ai pas voulus voler ta cai-

— Ferme-ta-gueule ! T'es qu'un voleur, comme ton père. Sale fou.

En plus il essaye de me mentir ?

— Pense ce que tu veux. C'est pas mon problème, non enfaite TU n'es pas mon problème. Dit-il en tournant à gauche,

Il se fou de ma gueule ?
Je me relève rapidement.

— On va reprendre les basses, JE t'ai sauvé. TON père m'a volé. Et TOI tu prends MA voiture sans ME demander. Alors à ta place je la fermerais, et j'éviterai de me la jouer à la Rocky.

Il m'observe, mais aucun sons ne sort de sa bouche.

— Enfin, on va éviter les coups, parce que tu ne mérites certainement pas mes poings dans ta tronche. Déclarais-je,

— Parce que toi tu mérites les miens peut-être ? Je ne t'ai pas demandé de me " sauver " tu n'avais qu'à refuser la demande de mon géniteur. Parce que je préfère rester dans cette « cabane » comme tu l'as appelée que de me trimbaler ta tête d'égocentrique.

J'aurais pu refuser, mais 56 milliard. Ça ne se refuse pas.

— Je ne vais pas t'accorder une seule secondes de plus de ma patience. Tu ne l'a mérite pas. kopile. ( bâtard)

Il rit, c'est ça rigole fumier.

— Parce que tu te trouves patiente là ? c'est plutôt moi qui suis très patient, c'est MOI qui endure certainement pas toi. Je t'aurais déjà massacré ta petite tête, gamine.

Il m'aurait massacré ?

Lui ?

Vraiment ?

Je veux savoir.

— Pourquoi tu as envie de me massacré maintenant mon chat ? Dis-je en positionnant ma tête sur son coude.

Une apocalypse, deux âmes Où les histoires vivent. Découvrez maintenant