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Selam Aleykûm.

Pdv Ilyas.

Quelques heures plus tard..

On est actuellement dans la voiture, après avoir tiré sur les policiers nos hommes n'ont pas perdu de temps pour arriver en Italie.

On a passé la frontière et il nous reste seulement une trentaine de minutes pour poser les pieds à lyon.

Pour commencer on aura de énormes soucis.. la cargaison a été volé et Tonio, un grand chef a été tué, ils vont sûrement jeté la faute sur nous.

Ensuite ces hommes qui voulaient nous tué, je suppose que c'est eux qui ont tous planifier, ils savaient que à cette heure, à cette date, il y'aura lieu une livraison.

Et ils ont sûrement du envoyer quelqu'un pour savoir toutes les informations..

Qui est parmi nous..

Il y a un traître..

Et pour finir les hommes qui sont arrivés pour nous défendre, ces hommes qui protégeaient leur anonymat en mettant des cagoules.

Ils n'avaient pas but de nous tué, sinon ils auront laissé les autres nous tué, mais parcontre ils voulaient pas qu'on découvre qui ils étaient.

C'est vraiment la merde.. les autres chefs sont même capable de débarquer en France pour nous tuer.

On s'est mis dans un bourbier pas possible..

J'ai posé ma tête contre l'appui tête, mon épaule était toujours entrain de pisser du sang et j'avais extrêmement mal.

Dès que nos hommes sont arrivés j'ai essayé de prendre un gilet pour appuyer sur la blessure et arrêter le sang qui coule, mais bon. Sa ne servait strictement à rien.

Un de mes hommes- patron.. je vais vous déposer à l'entrepôt ?

J'ai hoché négativement la tête.

Moi- nan, Zakarya tu ira voir un médecin qui est dans notre secteur pour soigner Saïd et pour te soigner toi, si ta des petites blessures.

Il ya eu un long silence.

Zakarya- et toi ? Tu va venir avec nous pour te soigner aussi.

Moi- il n'y a pas de médecin qui peut sortir la balle qui est entré dans mon épaule dans notre secteur, je vais me débrouiller.

J'ai soufflé en regardant ma blessure.

Zakarya- nan on va pas te laisser dans cet état.

J'ai tourné la tête en le regardant.

Moi- t'inquiète pas pour moi aller vous soigner et après j'irai voir Issam.

Il a froncé les sourcils.

Zakarya- mais nan sah, t'es blessé frère !! Il est 5 heure du sbah et tu me dis que tu va aller voir Issam.

Moi- zakarya, pour la blessure je vais te répéter une énième fois que je vais me débrouiller et pour Issam, je suis obligé d'y aller, si on règle pas cette affaire le plus tôt possible on aura des problèmes.

Ilyas- tout se paiera. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant