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Selam Aleykûm.



Pdv Ilyas.


Mon oncle- commence pas, viens vite.

Moi- pour ?

Mon oncle- viens vite, ta grand-mère s'est évanouie !!

J'ai froncé les sourcils, totalement dans l'incompréhension je comprenais rien, je réalisé pas ce qu'il venait de me dire.

Mon oncle- ohh !!

Moi- j'arrive.

J'ai raccroché, Emre m'a regardé pendant quelques secondes.

Emre- cousin ?

Moi- emre ma grand mère..

Il a compris, il a uniquement hoché la tête en se levant, je me suis levé à mon tour, ma sœur est arrivée par derrière.

Hayat- abi ? (Grand frère) ya quoi ?

Emre- hayat reste ici.

Elle m'a regardé pendant quelques secondes, elle avait remarqué que j'étais pas comme tout à l'heure, elle a donc pris sa veste elle a enfilé ses chaussures en sortant de l'appartement.

Emre- sarah.. reste ici le temps que ma mère arrive, on doit y aller.

Sarah- t'inquiète pas..

J'étais déjà à l'autre bout de la porte, j'ai dévalé les escaliers en furie, Emre essayait de me rattraper par derrière.

D'abord ma mère, mon frère, Saïd et ensuite ma grand mère ?

Je pourrais pas w' الله j'y arriverai pas..

Je suis arrivé dehors, il faisait nuit, je suis monté dans ma voiture, Emre est monté côté passager et hayat est monté derrière.

J'ai démarré la voiture, je suis un zemel à dire sa mais mes jambes ont commencé à trembler, j'ai passé ma main gauche dans mon visage, juste l'idée de la perdre était trop pour moi.

Emre- cousin arrête toi.

Je parlais pas, j'accélèrai encore plus.

Emre- tu peux pas conduire la.

Je disais absolument rien, j'ai continué de conduire, mon pied avait du mal à appuyer sur l'accélérateur.

Après des longues minutes on est enfin arrivé, je suis descendu puis j'ai couru jusqu'à le bâtiment de ma grand mère.

J'ai monté les escaliers en deux deux, arrivé devant, la porte était déjà ouverte, j'ai enlevé mes chaussures, il y avait au moins une quinzaine de paire.

Je suis entré à l'intérieur, il y avait mon oncle qui m'avait téléphoner, il m'a lancé un regard noir.

J'ai tourné la tête et y'avais mon deuxième oncle( celui qui m'aime bien), il s'est dirigé vers moi en me faisant une accolade.

Moi- amca.. ciddi birşey yok dimi ?  ( tonton.. Ya rien de grave bien vrai ?)

Je me rassurais comme je pouvais.

Mon tonton- va la voir.. elle va t'expliquer..

J'avais l'impression de revivre ce sentiment que j'avais vécu avec ma mère, mon coeur battait à fond, j'ai reporté mon regard dans la porte..

J'ai fais quelques pas, mes pas étaient tellement lourdes w' الله je tenais pas debout.

J'ai toqué, puis je suis entré dans sa chambre, elle était allongé avec un masque dans la bouche et quelques fils qui étaient accroché à une machine.

Ilyas- tout se paiera. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant