Changement (3)

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Aomine

Sa fait deux an que j'ai intégré le collège de teiko et que kagami est parti. Au début j'étais pas trop à l'aise et j'allais souvent après les cours au terrain pas loin de chez lui. Espérant vainement qu'il me rejoigne même si je savais que sa sera pas le cas. J'ai fêté mes quinze ans y'a de cela trois jours et habituellement je le fête avec lui. Ont s'appelle même si ce n'est pas pareil que s'il était là. Au début, il était toujours aussi triste et moi je continuais à cacher ma peine. En faisant comme si tout allait bien, je souriait, je faisais dés blagues. Même si je voyais très bien qu'il devait sûrement pas comprendre mes réactions. Mais c'était mieux ainsi, il devait reprendre goût à la vie. Car je ne supporterait pas de le voir triste et d'un autre côté sa me ravi de lui manquait autant. C'est égoïste je sais mais c'est mon choix. Depuis j'ai intégré une équipe de basket du collège. Ce qui m'a tapé dans l'œil c'est l'aura de chacun. C'est vraiment drôle car on avaient des couleurs de cheveux quand pourrais croire que l'arc en ciel nous avait fait. A cette pensé sa me fait rire mais je trouve original. Ont se démarque vraisemblablement des autres équipes. Les jours suivants j'ai commencé à discutés avec eux étant maintenant coéquipier. Il y avait même une fille, jolie mais je l'a considérer plus comme une petite sœur. Un déjanté du nom de ryota kise, midorima shintaro un allumé de tous ce qui est horoscope. Murassakibara atstuchi un vrai morfale, akashi seijuro celui-là je place dans la catégorie des psychopathes. La première fois que je l'ai vu, il avait rien d'intéressant. Mais un jour tout à changer, il est devenu notre capitaine. J'oublie le fantôme qui lui est devenu mon ombre et ami. Ma relation avec les autres n'est pas comme celle que j'ai avec kagami. Rien avoir mais il compense mon manque de lui et je m'y rattache au fur et à mesure des jours qui passent. Je pari que si kagami été ici, il aurait sûrement fait partie de notre groupe. Mais je réalise pour la énième fois, qu'il n'est pas là se sera plus jamais comme avant. Le temps où ont se bagarrer de mots, de compétition, de rivalité c'est un peu éloigné. Nous l'équipe de teiko en participe à des tournois de basket. Chaque année les organisateurs des tournois organise des compétitions. Et nous faisant partie de ces équipes qui s'affrontent à chaque fois que l'occasion se présente. Ont n'a déjà gagné des matchs et plus les matchs sont importants. Plus les autres joueurs ont les compétences nécessaires pour continuer l'affrontement. Moi je prends encore plus de plaisir à jouer jusqu'à atteindre le summum du jeu. Quelques mois seulement que j'ai intégré teiko et je devenais imbattable. Les matchs étaient devenus amère et vide plus réellement d'intérêt pour moi. A chaque match mes scores étaient plus qu'élever mais je trouvais encore du plaisir à jouer. Enfin jusqu'à ce match, un match qui m'a ouvert les yeux sur chaque défaite de mes rivaux. Quoique pour moi ce n'en était en aucun cas des rivaux digne de ce nom. Je l'ai trouvé tous faible, il me faisait pitié a vouloir continuer alors qu'il n'avait aucune chance contre moi. Même mes coéquipiers n'en valaient pas la peine, les matchs n'avaient plus de sens. Les entraînements, je ne participait plus, à quoi bon même sans j'étais fort. Donc l'entraîneur me fit participait qu'au match. J'avais prévenu kagami de ma rentré à teiko au départ, il était content pour moi. Je lui avais même parlé du groupe dont je fais partie et de nos match. Mais depuis j'ai cessé de le lui dire, je voulais aucunement qu'il s'inquiète. Et même s'il s'inquiéter il pourrait rien y faire à l'autre bout du monde. S'il avait été là peut être que lui saurait me sortir de cette impasse quoique gouffre était plus approprié. Même les cours sont d'un ennuis que je sèche me réfugiant sur le toit. Ayant trouvé un notre moyen de me satisfaire encore à cette infime espoir qu'il me reste. J'ai commencé à beaucoup sortir et de moins en moins appelé kagami. C'était inutile de continuer à se parler c'est ce que j'avais décidé. A l'heure où ont se connecter souvent j'étais à l'extérieur. Il m'envoyer des messages pour me demander si tout allait bien. Et pourquoi je ne lui répondait plus comment le lui expliquer. Et je ne veux pas qu'il me vois comme ça, il se sentirais coupable. Coupable d'être loin, coupable de ne pouvoir rien faire. Et je ne pouvais pas y faire fasse donc je m'y suis éloigné. Cette idée m'étais insupportable mais c'était mon choix. Au départ j'étais heureux mais aujourd'hui plus rien avait d'importance même le basket avait un goût de vomi. Quand j'allais à chaque match , je baillais même quand j'étais assis sur le banc, je dormais. Parfois j'y allais justement avant que le match ne commence et repartait juste après que se soit fini. Mes coéquipiers ont essayés à plusieurs reprises de comprendre. Mais comment pourrais t'il le comprendre personne ne comprends. Je pensais que sa serait un bonheur d'atteindre mon but. Et aujourd'hui que je l'ai atteint à quinze ans c'est devenu ma prison. Comme tous le monde m'en surnommé j'étais devenu un monstre oui .......un monstre.
Donc je me réfugier dans les sorties avec des filles, des soirées un peu à gauche à droite. C'est vrai que je n'ai que quinze ans mais au vu de la taille d'un mètre soixante dix. En pourrais croire que j'en fais plus en âge donc possible d'entré en discothèque. Je m'y suis rendu un soir par hasard, je n'aurais jamais cru tombé sur une boîte où la carte d'identité n'était pas nécessaire. Et depuis quand je veux m'éclater pour oublié alors je m'y rends. Ma mère travaille , elle est infirmière et souvent de garde. J'essaie tous de même de ne pas me créer de problème pour éviter d'en rajouter à ma mère. je m'en préoccupe même plus ma vie et si insignifiante que personne ne peut m'aider. Donc j'ai accepté mon sort à la seul condition que kagami ne le sache jamais. C'était encore mon choix sans que kagami encore une fois ne soit pas touché par mon changement. Tant qu'il reste au Etats Unis, il sera toujours heureux. Et c'est la seul chose que je voudrais protégé de mon attitude. Je lui ai déjà fait pleuré tant de fois même quand ont n'étaient enfant. Et aujourd'hui je ne veux pas lui causé ces larmes sa serait une douleur qui m'achèvera.



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