Avant tout je doit prévenir que ce chapitre contient du viol et aussi de la maltraitance et des insultes. Si vous êtes hypersensible, ne lisez pas cette histoire. C'est à vos risques et périls.
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Moi : Arrêtez je vous en pris. Suppliai-je aux hommes qui me regardaient d'un air pervers tout en se déshabillants.
Je vois mon oncle adossé au mur dans l'encadrement de la porte, avec un petit sourire au coin des lèvres, tout en me regardant.
Il a l'air heureux de me voir comme ça et ça me fait rager. Je le supplie du regard de m'aider mais il ne dègne bouger ne serait-ce que le petit doigt.
Les hommes à présent nus s'approchent de moi tandis qu'un me tient en place pour pas que je bouge.
Ils sont trois. Le deuxième, se met devant moi et met sa main sur ma bouche pour m'empêcher de crier et d'alerter les gens qui sont dans la boîte.
Homme 1 : Alors ma jolie tu as peur ? Pourtant c'est pas la première fois qu'on va te faire ça tu sais. On adore te louer pour 1h mais des fois je trouve que c'est pas suffisant.
L'homme encore debout devant s'agenouille alors avec un regard pervers puis il place son engin entre mes jambes qu'il force à écarter puis il me pénètre violemment ce qui m'arrache un cri étouffer par la main de l'autre pervers.
Il accélère ses mouvements alors que je me débats de toutes mes forces et que je pleure toutes les larmes de mon corps tout ça sous le regard de mon oncle.
Je le déteste.
Après je ne sais combien de temps à me faire violer, l'homme se retire de moi et se rhabille tout en me balançant mes vêtements à la figure.
Je m'empresse de les prendre et de les remettre tout en partant en courant, ayant sûrement peur qu'ils recommencent.
Et dire que mon oncle me « loue » à des pervers juste pour du fric. C'est même pas légal et honnêtement, si je pouvais, je l'aurai déjà dénoncé. Malheureusement je ne peux pas sinon il me tuera.
Quel fils de pute. Et dire qu'il fait parti de ma famille.
Je rentre précipitamment dans ma chambre si on peux appeler ça comme ça.
Dans la pièce il y a un petit matelas humide, un lavabo, des toilettes miteux et un coin de 1m carré qui me sert de douche.
Je m'assoie sur mon « lit » qui est un pauvre matelas posé par terre puis je met ma tête dans mes bras alors que mon oncle ouvre brutalement la porte.
Oncle : Alors tu veux jouer à la pétasse ? Très bien alors tu va le payer. Dit-il en me tirant par les cheveux pour me traîner en dehors de la chambre jusqu'à sa salle de bain qui hante tout mes cauchemars.
Moi : Non !! S'il te plaît ! J'ai fait ce que tu voulais pas le lisseur je t'en pris ! Répondis-je en pleurant et en le suppliant.
Il ne m'écoute pas et entre dans sa salle de bain puis prend un lisseur et le branche.
En attendant qu'il soit chaud, il me donne des coups de pied dans le ventre ce qui me fait m'écrouler par terre, je n'arrive plus à respirer.
Oncle : Ah, le lisseur est près. Je doit te punir espèce de garce pour m'avoir désobéis. Idiote !! Dit-il en prenant une poignée de mes cheveux dans sa main.
Il me tire jusqu'à lui avec le fer à lisser dans l'autre main.
Il le pose sur ma peau et je hurle de douleur alors qu'il me brûle à différents endroits qui ne sont pas déjà brûlés car oui c'est pas la première fois qu'il me fait ça.
Oncle : Alors tu fait moins la maligne hein ? Combien de fois je t'ai dit de m'écouter quand je t'ordonne quelque chose ?? Hein !! Dit-il en me lâchant violemment les cheveux et en jetant le fer à lisser tout aussi violemment contre le mur.
Celui ci s'écrase par terre dans un gros bruit alors que le téléphone de mon oncle sonne.
Il me lance un dernier de regard avant de sortir de la salle de bain tout en décrochant.
Oncle : Allô ?
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Alors qu'est ce que vous pensez de ce premier chapitre ?
Perso j'aime pas l'oncle mdr après c'est logique vu ce qu'il fait subir à Tp.
En tout cas tout va bientôt changer pour notre chère Tp Tn.
Elle va le découvrir bientôt mais c'est pour le meilleur, comme pour le pire...
Kiss les loulous 💜💜
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Vendue à un mafieu
FanfictionDe la violence, du viol, des insultes, de la torture. Voilà ce que j'ai subit durant toute ma vie à partir de mes 9 ans. Il faut dire que ça a pas été toujours la joie. Et quand mon oncle va me vendre à un mafieu plus que cruel, je suis pas prête...