CHAPITRE DIX-SEPTIÈME

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Bref, continue mon enfant !!!

- Oui mon papa ! Donc je ne suis pas homme à me défiler comme un vulgaire lâche lorsque l’on me catapulte un défi dans la face. J’accepte donc de lui montrer à quel point il m’est aisé de séduire cette gueuse. Il s’agit d’une jeune fille brune, les cheveux lisses et longs tombant sur les épaules.
Elle est de corpulence normale, et porte une petite jupe en cuir noir assez moulante, un petit haut blanc classique, des collants noirs et des baskets de couleur blanche. Je m’approche donc d’elle lentement, et m’installe à côté sur le banc.
Elle me jette un coup d’œil. Je lui souris et directement elle tourne la tête à nouveau droit devant elle. Mais je vois que son visage s’empourpre. Je lui plais. Elle a un visage des plus banals. Mais sa jupe, déjà bien courte, est tellement remontée qu’on pourrait aisément voir si elle porte une culotte ou un string en se penchant de quelques centimètres en avant. Elle a des jambes qui ont l’air relativement fine et fermes. Cela me plait pas mal à vrai dire. Je lui dis qu’elle est très mignonne et très sexy. Elle ne me répond pas mais rougit de plus en plus. Aucun doute à avoir donc, je lui plais et même terriblement.

- Normal mon fils, tu es mon portrait craché !

- Merci d’éviter de m’interrompre, père ! Donc sachant que je lui plais, et voyant qu’elle préfère jouer sa timide et coincée, je jette un coup d’œil autour de moi et constate que nous sommes absolument seuls dans tout le parc. Je n’ai pas de temps à perdre en bavardage et dragues inutiles, d’autant plus que je sais que Jean-Edouard, fils de l’Ambassadeur, ne va pas tarder à débarquer prétendant que j’ai échoué si je n’agis pas rapidement.

- Oui le temps jouait en ta défaveur !

- Exactement, donc je ne perds pas une seconde supplémentaire. Je déboutonne mon jeans, et je le descends jusqu’aux chevilles, en prenant soin d’embarquer mon boxer sur le chemin, dégageant ainsi à l’air libre et chaud du printemps mes magnifiques attributs familiaux.

- Bien joué mon fils !

- Merci bien, père ! Inutile de te préciser que, même ainsi au repos, la taille est déjà impressionnante. Ainsi, la gueuse, qui a une tête à se prénommer Sandra, car elle me fait penser physiquement à une chanteuse de karaoké que j’avais pu admirer une fois lors du concours annuel semi-régional 2016 qui avait pour thème cette année-là l’intégrale des chansons de Francky Vincent, jette….

- … Quel rapport avec Francky Vincent ? coupe son père.

- Aucun je présume. Bref, donc Sandra découvre, du coin de l’œil, ma nudité partielle. Et au lieu de s’en indigner, elle n’a de cesse de pivoter progressivement la tête jusqu’à être bien face à moi. Mais ce n’est pas mes yeux qu’elle regarde, mais bien mon entre-jambes. Voyant qu’elle bloque complètement, n’osant pas esquisser le moindre geste, je me saisis de ma queue pendante et commence à la branler lentement. J’observe la moindre de ses réactions. Elle ne bouge toujours pas mais fixe avec beaucoup d’intérêt ce spectacle. Au fur et à mesure que je me caresse, mon sexe devient de plus en plus dur et de plus en plus gros. Rapidement ma main ne peut plus en faire le tour complet.
Mais Sandra ne bronche toujours pas. Alors, tout en tenant d’une main ma queue bien fixe, je tends le bras de façon à placer mon autre main derrière sa tête. Et, fermement je l’attire vers moi, et je dirige sa petite gueule de gueuse de plus en plus bas, en direction de ma grosse queue.
Je sens une résistance au début, mais n’y prête pas la moindre attention. Arrivée à quelques centimètres de ma queue, elle accepte d’elle-même d’ouvrir la bouche au maximum afin que je puisse lui empaler ma bite tout au fond de sa gorge.
Je sens à peine les dents, ce qui est rare étant donné mon calibre. Par contre, comme je m’y attendais je tape contre le fond bien avant qu’elle puisse m’avaler jusqu’aux couilles. Il reste même un bon paquet de centimètres hors de sa bouche de catin. Bien qu’elle se mette à tousser, et baver énormément, je lui fais comprendre que je veux qu’elle reste un instant comme ça immobile.
Je laisse ma main sur l’arrière de son crâne en maintenant une pression maximale. Le but de tout ça est quand même de prouver à mon ami ma réussite pour séduire sa gueuse. Je le siffle donc et lui crie : 
« Viens donc voir mon ami comment on souille et on humilie une putain moyennement belle !!! Ou moyennement moche, au choix !! »
Et j’éclate de mon rire bien gras et souvent communicatif. En entendant mon propos, Sandra essaye de se dégager.
Elle râle, se plaint et je commence à sentir qu’elle pourrait vouloir me mordre. Du coup, je n’ai pas le choix, je lui tire fort les cheveux en arrière jusqu’à ce qu’elle souffre, et je lui glisse à l’oreille :
« Tu me mords, t’es morte salope ! T’as accepté de jouer ta traînée avec moi, alors tu vas la jouer jusqu’au bout et avec mon pote aussi, et je te préviens il a une aussi grosse bite que moi. Tu vas regretter de t’être embarquée là-dedans crois-moi ! »
A peine finissais-je mon sermon, et à peine Sandra avait accepté son funeste destin, que Jean-Edouard était assis à l’autre bout du banc. Il soulève le bassin de la fille afin de la positionner à 4 pattes sur le dit banc, toujours en train de me pomper avidement la queue. Il remonte sa jupe au maximum, et descend l’élastique de son collant ainsi que celui de sa culotte juste assez pour libérer un cul franchement pas dégueulasse.

- Il ne perd pas de temps ton jeune comparse.

- C’est clair ! Et directement il frotte son gland pas encore dur contre, puis entre les lèvres gonflées et déjà humides de la chienne. Il n’attend même pas que le tout soit suffisamment lubrifié pour enfoncer son sexe, encore à moitié mou, en elle. Elle gémit de douleur. Lui, il relève la tête, me regarde et me lance :
« Putain, elle est bonne cette pute, tellement que je sens ma queue devenir énorme et tellement dure super vite. »
Et je peux deviner facilement à quel point il bande rapidement au plus profond des entrailles de Sandra car elle gémit et tente de hurler de douleur de plus en plus fort. Heureusement que mon chibre bien épais l’empêche de gueuler comme une gamine qu’on viole sinon elle parviendrait à nous rameuter tout le quartier.

🔞LES CHRONIQUES D'UN HOMME DÉCHU🔞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant