Chapitre huit : L'abattement.

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Alors que la guerre était sur le point de commencer, qu'elle aller d'une minute à l'autre revoir son mari, celui qui l'a détruite, elle repensait à ce qui avait pu se passer quelques jours plus tôt.

| FLASHBACK |

« Tu m'évites Hana ? »

La brune sursauta, ne s'attendant pas à tomber sur la personne qu'elle cherchait à ne pas croisé..

« Non. »

« Tu mens. Ça fais une semaine que c'est le cas, dès que tu me vois tu t'enfuis. »

« Alors si tu le sais pourquoi tu me le demande ? »

« Car je veux comprendre. »

« J'avais besoin de prendre mes distances. »

Il se rapproche d'elle.

« Pourquoi. »

Elle voulu reculer mais elle était déjà coller au mur.

« Car je l'ai décidé Byakuya. »

Son visage était désormais assez près de celui de la jeune brune.

« Byakuya.. »

Il déposa délicatement ses lèvres sur les siennes, tout en mettant ses mains sur son cou. Le baiser est devenu un baiser passionné en très peu de temps mais ils furent interrompus...

« Grand frère ? Hana ? »

Quand il entendit sa sœur, il avait reculé, la jeune brune regarder au sol, repensant à ce qui venait tout juste de ce passer.

« Depuis quand tu es là, Rukia ? » Demande calmement le capitaine.

« Je viens d'arriver,  on doit te demander quelque chose.. »

C'est à ce moment qu'ils avaient remarqué que Renji était là lui aussi.

« Dans ce cas je vous laisse. »

Elle s'en alla aussi vite qu'elle le pouvait, évitant de croiser le regard de qui que ce soit.

| FLASHBACK |

Et depuis ce jour ils ne s'étaient pas recroiser, tout les deux trop occupés avec cette guerre. C'est à ce moment précis que les trois traîtres se sont pointés, le cœur de la vice capitaine commencer à se serrer, il était là et ça lui faisait très mal. Elle sentit une main se poser sur son épaule, c'était son capitaine qui lui faisait comprendre qu'il était là.

« Ma chère femme est présente. » Se réjoui Gin. « Puis-je aller la saluer, Aizen ? »

« Hm ? Fais vite. »

En l'espace de quelques secondes, Gin se trouvait près de sa femme avant que quiconque puisse agir.

« Je vous l'emprunte. »

Il l'a porta sur son épaule et s'éloigne de cet endroit.

« Merde ! » Jure le capitaine de la treizième division.

Ils étaient assez éloigné, Gin repose sa femme à terre, qui elle, ne perdit pas de temps pour le gifler.

« Je pense que je l'ai mérité celle là. » Dit-il en posant sa main sur sa joue.

Amour inavoué. | ByakuyaxOc.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant