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Anne :

Je dois avouer que je suis raide, dingue de Gilbert, et je crois que c'est réciproque ! Qu'ils perdent jamais me voir avant la fin de la pause, et mon cœur bat si vite...

Gilbert : que... Que dirais-tu de passer du temps avec moi, après l'école ?

Anne : Bien sûr !!

Fin des cours :

Gilberte m'accompagne donc jusqu'à chez lui pour que nous puissions déposer nos affaires, afin de se balader tranquillement, dans Avonlea. Après, ça serait débarrassé de nos affaires, nous sortons de chez lui, et nous dirigeons vers le centre du village.

Il me prend par la main, et la serre très fort. Je pourrais mourir pour lui.

Camilia :

Gilbert oublié de prendre son béret, alors je prends l'initiative de lui ramener chez lui. Je m'approche de sa maison, plus je tremble. Arrivée chez lui, je toque, mais personne ne répond. Je regarde sa fenêtre, il voit des affaires, mais pas que les siennes. J'ignore à qui pourraient-t-elles appartenir.

Camilia : Gilbert, je sais que tu ne veux plus me parler, mais j'ai juste quelque chose à te rendre, cela ne prendrait que quelques secondes...

C'est là que je me suis rendu compte que je faisais un monologue. Je prends alors la décision d'entrer, en ayant conscience que cela est illégal.

J'observe la table, ou les affaires sont posées en vrac dessus. Je jette un coup d'œil aux affaires qui n'était pas celle de Gilbert. Je prends la plume, et lis ce qu'il y a gravé dessus. « Anne ».

Je regarde ensuite les affaires de Guy Gilbert, et vois une feuille dépassée. Je la tire, et voit écrit dessus ; « Anne ». Je peux m'empêcher de l'ouvrir, et de lire ce qu'il y a écrit.

« Chère Anne ,

C'est dans cette lettre que je te confirme mon amour pour toi. Tu es le genre exact de fille qui me correspond, et c'est pour ça que je t'ai choisi, depuis bien longtemps même, car en effet, ça a toujours été toi. J'aimerais passer le restant de mes jours à tes côtés. Et si tu pouvais, me répondre, ne serait-ce qu'un seul mot, par oui ou par un non, je t'en serais extrêmement reconnaissant, car voici ma question ; ma très chère Anne , accepterais-tu de devenir ma petite amie ?

Gilbert »

Mon cœur se vend littéralement deux, car je sais que c'est réciproque, c'est évident. Je ne reste pas une minute de plus dans cette maison et oublie même de lui redonner son béret. Ce n'est pas grave... Je lui donnerais une autre fois.

Je sers son père contre moi, il a son odeur pendant une dizaine de secondes. Je rentre chez moi, et m'effondre face à ce qui se trouve devant moi.

Gilbert :

Nous rentrons donc chez moi. C'est le bon moment pour donner ma lettre à Anne .

Gilbert : J'ai quelque chose à te donner.

Je lui donne ma lettre en tremblant.

Elle commence à lire la lettre et disparaît. Elle lève la tête.

Anne : C'est... c'est vrai tout ce que tu as écrit ?

J'ai un moment de doute. Et si ce n'était pas réciproque au final ?

Gilbert : Hum... oui, je le pense oui.

𝐑𝐞𝐬𝐭 𝐢𝐧 𝐩𝐞𝐚𝐜𝐞, 𝐝𝐚𝐝...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant