Chapitre 2

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Ladies and gentlemens

J'ai l'honneur de vous annoncer que la suite est enfin publiée.

Je sais que vous êtes nombreux à apprécier cette fic, donc je me suis mis un point d'honneur à finir ce chapitre avant de m'attaquer à celui de mon autre histoire en cours.

Sur ce, bonne lecture !

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Il se promenait tranquillement à travers les couloirs qui laissait voir les magnifiques jardins qu'entretenaient les dryades... jusqu'à ce que le souffle d'une explosion provenant desdits jardins ne l'arrête net.

- Ramènes tes fesses ici, espèce de chenapan ! cria une voix féminine en colère.

- Faudrais pensée à changer de disque, Ingrid, répliqua une voix masculine sombre qui avait quelques particules de moquerie. Plus personne ne dit ce mot depuis longtemps.

Il se tourna vers l'origine des voix et vis une jeune femme ayant, sans doute, entre vingt et trente ans et un jeune homme encore dans la fleur de l'âge.

La jeune femme portait une tenue des plus provocante qui ne couvrait quasiment rien ainsi que des talons à lanières qui la grandissait de dix bon centimètres, ce qui, malheureusement, n'était pas assez haut pour dépasser le jeunes hommes devant elle, qui, au passage, semblait se foutre royalement de sa gueule, et qui, avec ses cheveux noirs de jais qui étaient retenus en tresse mais dont certaines mèches folles s'en échappaient pour encadré un visage androgyne qui faisait autant de ravage chez les hommes que chez les femmes, ainsi que de magnifiques yeux vert émeraude qui faisait fondre n'importe qui dans son fief, sans exception.

La moitié des lesbiennes du château avaient faillit revoir leur jugement rien qu'on le voyant. Et c'était pas les fossettes qui apparaissaient quand il souriait qui allaient les aider.

Il est bien loin, le lionceau tremblant que j'ai accueilli ici il y a cinq ans, songea t-il en repensant à ses débuts en ces lieux.

Après son réveil, il l'avait conduit d'autorité vers l'infirmerie de son château ( oui, il vivait dans un château, et oui il en était le propriétaire ) et avait dû faire preuve d'une bonne dose de persuasion et d'argument plus que convaincant à propos de sa santé — qui était précaire, soit dite en passant — pour qu'il se laisse prendre en main par le guérisseur en chef et que celui-ci ne lui donne un diagnostic probant sur son état.

A peine avait-il eut les résultats qu'il avait faillit commettre un meurtre dans l'heure. Seul le besoin plus qu'urgent de s'occuper de son protéger et d'éviter de lui infliger une quelconque sorte de stress l'avait empêcher d'aller dépêcher quelques uns de ses plus proches amis pour qu'ils aillent faire une visite de courtoisie aux Dursley.

Il avait fallut six mois pour le soigner complètement, mais il gardait tout de même une certaine fragilité qui faisait que tout le monde faisait attention à ne pas faire de geste trop brusque tout en essayant de ne pas trop le braquer par leur geste. Ça avait la partie la plus difficile à faire: faire accepter à Harry sa fragilité.

Bien que n'ayant côtoyer le monde sorcier que depuis quatre ans et quelques mois, l'éducation chez les Dursley ( si on pouvait appeler cela éduquer un enfant, avait-il marmonner quand il voyait Harry être sur la défensive avec l'un de ses hommes ) l'avait empêcher de montrer aux autres ses faiblesses, ayant d'ailleurs trop honte pour le faire. Il avait fallut la bonne volonté de tout les habitants du château, lui inclus, pour faire petit à petit ressortir la véritable personnalité du Griffondore — plus si Griffondore que ça — et lui faire prendre confiance en lui. En tout, ça leur avait prit près de quatre ans et trois mois pour le rétablir, aussi physiquement que mentalement.

 inter lucem et tenebrasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant