1 ~ Plan L

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Alys

Angleterre, Gambridge

14h05 

Ils ne vont pas me lâcher ces enfoirés ! Je cours à travers le parcours poursuivi par 3 hommes armés que je compte bien défoncer la gueule s'il ne me lâche pas. Je saute, je m'accroche aux cordes et escalade les murs pour les semer. Au bout de quelques minutes, je commence à perdre mon souffle et je me retourne pour faire face aux connards qui me suivent.

Il s'arrête à quelques mètres de là et je fais craquer mes doigts avant de m'approcher d'un des trois en esquivant les fausse balle. On m'a toujours appris à amadouer un homme pour lui faire plus mal après. Je lui souris mielleusement avant que mon poing n'atterrisse dans sa gueule.

Moins un.

Le deuxième se jette sur moi, j'esquive son coup un peu trop prévisible à mon goût pour le lui rendre dans la mâchoire.

Plus qu'un.

Le dernier hésite un instant sauf que je déteste les gens trop lents donc je m'approche et je lui donne un coup de genoux très bien placé pour qu'il tombe à genoux devant moi.

– Stop ! C'etait pas mal. Fit mon pére depuis son balcon.

Je le regarde et rejetant mes cheveux ébène en arrière.

– Pas mal ?! Serieusement ?! J'ai fait touce que tu m'a dit de faire !

– Mouais, t'aurais pu faire mieux.

– Mais

– Alys, ne me contredit pas. Dit il avec son eternel regard d'acier.

Je souffle fortement avant de me rendre au vestiaire. Je troque mon haut noir avec un crop top noir et mon short noir avec un pantalon blanc. Je brosse rapidement mes cheveux ondulé et je sort de celui ci.

– Ta mis trop de temps. Fit mon père juste en face de la porte.

– Je me changeais.

– Je parle de ton exercice. Ta mis 38,05 seconde pour les mettres au sol.

Je fronce les sourcils sans comprendre.

– Bah c'est super ! Tu m'a dit de faire 38 secondes !

- Mais ta fait 38,05 secondes Alys.

– Mais c'est juste..

- Emmenez la. Dit il avant que 2 de ces hommes m'attrape et me souleve.

Je sent mon cœur battre rapidement et mes membre trembler.

non

non

non

Je gigote, je cris, je hurle, j'en viens meme a pleurer en me voyant entrer dans cette salle. On me jete au sol et l'un d'eux ferme la porte.

~Plusieurs heures plus tard~

Ils me laissent enfin partir, je sens mon poul battre dans ma tete et je n'arrive plus a marcher droit. Certain hommes me voit mais m'ignore. Un gout incestant de metal reste dans ma bouche avant que je m'ecroule au sol.

Je ne sais pas combien de temps je reste dans cette situation mais cela me semble etre une eternité. Soudain je sent deux bras me porter et je peux reconnaitre une odeur de monoi reconfortante. Je me laisse faire et je sent mon dos heurter un matelas. Je gemit de douleur.

- Je vais m'occuper de toi. Fit une voix masculine.

Quand j'ouvre enfin les yeux je vois cette carrure et ses cheveux blond bien coiffé. Il prend une trousse de toilette avant de s'assoir a coter de moi et me sourire.

– J'avais fait que.. Je commence avant de me faire couper.

- Je m'en fiche, je sais deja comment ca a finis. Dit il en regardant mes nombreuse blessures qui recouvrent mes bras, mes jambes et mon ventre.

il me les soigne sans un mot, je le regarde et me laisse faire, detendue. Ce moment est si agréable que je ferme les yeux.

- Ton père ta parler du plan R ?

- Oui, ca fait 2mois qu'il m'harcele avec ca. Dit je en grimacant

– Il commence dans quelques jours. Dit il, ce qui a le pouvoir de me redresser rapidement.

– Quoi ?

– Il commence dans quelques jours.

– Il me l'a pas dit ca. Dit je en me levant et en sortant en courant.

Mes jambes, normalement douloureuse, ne me font plus mal du tout. Je cours dans les couloirs, bouscule quelques personnes qui rale avant d'ouvrir la porte du bureau de mon père.

– Comment ca il commence dans quelque jours ?! Criais je en mettant mes paumes de mains a plat sur le bureau en verre.

-Ta 4jours pour te préparer, si t'es pas prete, c'est tempis pour ta gueule. Dit il en pianotant sur son clavier.

– Et ca va se passer comment ?

~~~

Super, je suis dans la grosse merde. J'ai littéralement 4 putain de jours pour m'améliorer ou c'est la mort assuré.

Je fait les cents pas dans ma chambre a réflechir jusqu'a la lune tombante. Je m'assoit a mon bureau et bouge nerveusement ma jambe.

4jours.

C'est trop peu, j'en suit certaine. J'ouvre ma fenêtre pour laisser passer l'air de la nuit dans ma chambre. Je m'installe a mon bureau et fait trembler nerveusement ma jambe. Je prend une feuille et commence a gribouiller dessus. Mes mains tremble et je sert fort le stylo entre mes mains.

Soudain j'entend un leger bruit derriere moi, je me retourne vivement et voit un homme, capuche sur la tete et masque chirurgicale noirs sur le visage.

J'attrape une paire de ciseaux et lui pointe.

— Qui etes...Commencais-je.

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que l'homme sort un glock de sa veste, il me pointe son arme sur moi et je deglutis.

Soudain, tout ce passe tres vite. Il tire dans le mur ce qui le fait sursauter et il m'attrape. Je frappe son torse et fout un coup de pied dans ses parties genitales sauf qu'a part un grognement de douleur, il ne tombe pas.

Il me place un tissus imbibé de je-ne-sais-quelle-produit sur mon nez. Je me retiens de respirer sauf que je n'ai pas envie de creuver. Donc j'essaye de prendre une inspiration mais il doit avoir tellement de produit que je sent deja ma tete tourner.

Non, non, non ! Je dormirais...pas...

Trou noir

Et merde, je me suis endormie.

Freedom (EN PAUSE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant