5~ Burger au Connecticut.

3 0 0
                                    

Keith

— Tu penses que si je lui fait bouffer mon glock jusqu'à ce qu'elle s'étouffe et qu'après je lui tire à l'intérieur de la bouche elle va souffrir ?

— Concentre toi sur la route tu veux ? fit mon acolyte en s'accrochant à son siège.

Cette flipette a peur de 250km/h, je me demande encore comment il fait pour être mercenaire mais presque pleurer quand il voit une araignée. Quand on arrive sur le parking du centre commercial, je jette ma clope par la fenêtre et me prépare pour ne pas éliminer cette rousse sur le trottoir.

— Pollution ! Crie-t-elle quand je sors de la voiture.   

— Ta gueule sale conasse, pourquoi ta fait ca ?! Dit-je en la regardant d'un regard mauvais.    

— Je..   

Je l'attrape par les cheveux et l'emmène dans la voiture. Je me rassois  et rallume une clope pendant que Ozan me fusille du regard. Ne fais pas le mec nerveux avec moi. Et comme s' il avait lu dans mes pensées, il détourne le regard sur la rousse et commence à l'assaillir de questions.
   
– Je voulais juste lui racheter des vêtements !   

Elle est trop naïve, ça me tend. Je craque mes doigts, démarre la voiture et fait le tour pour essayer de trouver des traces de l'anglaise. Je me vois meme demander a des passants.   

— On a croisé une fille qui nous a demandé la gare la plus proche.   

— Elle était habillée comment ?! demandai-je.   

— Elle etait petite, brune et elle avait  un survêtements noir.
   
— Elle est partie à la gare ? Demande Ozan.   

La femme a pas le temps de repondre que je demarre direction la gare.     Elle veut jouer au chat et à la souris ? Pas de soucis. Ce qu'elle sait pas c'est que le chat est affamé.     Je double tout le monde et me stationne à la gare. Je sort et court à l'intérieur sans attendre les deux flemmards. Je fonce au guichet.   

— Petite, brune avec un survêtement noir vous l'avez vu ?

— Monsieur, il me faudra un no...   

— Mademoiselle Taylor.
   
Il tape sur son clavier et à chaque touche j'ai envie de l'éclater sur son clavier jusqu'à ce qu'il pisse le sang.    

— FAIT OPPOSITION À TA CARTE NAMI ! Criais-je comme un fou qui sort d'asile.    

— Quai 3.. Mais il vous faudra un billet pour...    Je dépose 2000$ sur le comptoir et lui dit de fermer sa gueule pour courir direction le quai.   

Le train est déjà là et j'inspecte tout le monde soudain mes yeux s'accrochent à des yeux noisettes qui me fixent. La brune commence à pousser tout le monde pour rentrer dans le train. Je me précipite et rentre juste après elle. Nous courons dans le train avant qu'elle s'enferme dans les premières toilettes qu'elles trouve.    

— Oh Izarra, tu ne vas pas me fuir indéfiniment.    

Aucune réponse.    

— Je t'attendrais, autant de temps qu'il faudra.  

J'attends bien 10 minutes avant qu'un vieux s'approche.   

— J'aurais besoin des toilettes. Me demande til.   

— Ma copine est à l'intérieur, elle ne devrait pas tarder. Dit-je en toquant à la porte.   

Quelque seconde plus tard, la petite tête brune d'Alys sort des toilettes. Je la prends par la main avant de laisser les toilettes au vieux. J'ai jamais autant aimé un vieux de ma vie. Je me dirige vers nos places et la coince entre la fenêtre et moi.   

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : May 20 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

Freedom (EN PAUSE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant