A la recherche du bonheur

1.

Les vacances allaient se finir et je retrouvais Maria ma meilleur ami, au parc. Il y avait des amis que je salut tous d'un hochement de la tête. Je trouvais Rémi un de mes meilleure amis très mais vraiment très sexy. Le probléme c'est qu'il sortait avec ma pire énemi. Tous se pasait bien, puis je décide de rentré chez moi. Ma mère m'attendait sur le parking. Je monte dans la voiture noir, que ma mère conduisait. Je reçoie un message assez violent d 'un numéro inconnue.

-Louise tu es vraiment une garce. Sa ne te suffit pas de te faire tous les mecs que tu trouve, tu doit aussi essayer de séduire mon copain !

Je ne comprenais vraiment rien, je verouille mon téléphone pour que ma mére ne voit pas se message. J'ai eu quelque problèmes par le passer avec certaine personne, je ne pense pas que cela puisse etres à l'origine de se message. Enfin je l'espere. J'aimerais vraiment passer une années tranquille avec mes amis. Je ne veux vraiment pas avoir de problème surtout que je ne demande rien à personne, je veux juste de la tranquillité. Est-ce vraiment si compliqué ?
J'arrive devant chez moi. Le trajet c'était passer calement. Pas le moindre mots sorti de la bouche de ma mère, ni de la meinne. Je pensais surtout au message que je vennais de recevoir, comment pouvait-on dire de tel chose, alors que je n'avais vraiment rien fait. Je sent mon estomac se noué en repensant à cette années de « merde » que j'avais passé, à cause de commérages débile de certains esprits tordu, que certaine filles avaient. Je soufle un petit instant pour me ressaisir et je monte dans ma chambre. Voyant mon lit innocupé je me jetat dessus. Je saisis mon téléphone et décidas de répondre.

-Qui est-tu pour affirmer de tel chose ? Dis-je

-Je suis quelqu'un qui te connais Louise. Et se que je vien de te dire est la stricte véritée. Tu te tape tous les mecs et tu va te pleindre après. Tous le monde sait que tu es une trainée.

La rage montais en moi. Comment pouvait-elle me traiter de trainée alors qu'elle ne me connaissais même pas. Si je savais qui se cachais derrière se numéro je lui metrais autant de gifle que je pouvais pour avoir affirmer de tel horreur.

-Moi une trainer, mais ca va pas ! Si tu dit sa c'est que tu ne me connais vraiment pas. Et qui est ton copain ? Puisque je le drague apparament, j'aimerais êtres au courant quand même.

-Tu ne connais pas de Rémi par asard ? Et on la tous vue comment tu le regardais, sa crève les yeux que tu l'aime ! Je sais aussi que tu lui à bien acorder une petite faveur l'autre soir à la soirée, tu sait ou il y avait tous le monde. Tu as bien draguer Benjamin aussi le mec de Sara. Trainer que tu es franchement tu n'a pas honte !!

-Ok, alors avec ta bouche de viper tu va te calmer tous de suite, car je n'ai rien fait avec ton copain qui est aussi mon meilleur ami je te le rappelle quand même. Et Benjamin je ne lui parle même pas, je ne le connais pas et tu affirme que je le drague alors que j'en ai rien à foutre de lui ! Tu me dégoute quand même, tu aime tellement détruire la vie des gens que tu es prete à affirmer des choses aussi grave. Entre toi et moi je pense que c'est toi la trainée.

Elle continuait à m'envoyer des insultes, mais je ne répond pas car je ne voulais vraiment pas que tous ca recomence. Maria m'insultat elle aussi à croire que tous le monde était contre moi. A vrai dire, entre Maria et moi sa n'allais pas vraiment bien elle avait beaucoup changer et je ne la supportait plus dutout. Elle avait fait en sorte que mes couples dans le passé se passe très mal, elle n'était plus ma meilleur ami mais une persinne méchante qui me voulais du mal. Même si sa faisait maintenant 6ans que je la connaissais je ne pouvais pas rester la à accepter qu'elle détruise ma vie. Je pris la descision de metres fin à notre amitié.

Je repris les cours normalement, avec ma classe que je connaissais maintenant depuis 3ans. Je me suis vraiment beaucoup raprocher de Maiwen un bonne copine dans ma classe. Je trainais déjà avec elle mais la c'était comme ma confidente. Maria quand a elle je l'avais déffinitivement rayé de ma mémoire.
C'est l'heure de la pose déjeuné et comme d'habitude nous allons avec Maiwen au café manger un petit truc. On commence à parler de tous et de rien, beaucoups de commérage. Ah ba oui on est des filles attender on aime critiquer mais gentillement biensure.