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Lundi matin j'étais sur un petit nuage. Mes copines me voyant arriver le sourire au lèvre se précipitent vers moi pour demander tous les détails de cette petite journée. Elles me regardent toutes avec de grand yeux rond et le sourire au lèvre.

Je leurs explique se qu'il c'est passer, les bisous, le câlins et tous le blabla. A la fin de ma petite histoire, elles se mettent toutes a crier comme des folles. J'étais morte de rire, on aurait dit que j'avais annoncée l'ouverture des solde. C'était du grand n'importe quoi. La journée passe tranquillement jusqu'à la deuxième pose de l'après-midi. Mon regard croise celui d'une personne que je ne voulais pas voir. Mon regard se verrouille qau sien et tous devient flou autour. Je n'entend plus rien, si quelqu'un me parle je ne l'entend pas. Il doit êtres a quoi 1m de moi, mais je distingue tous d'où je suis. Je voulais me détourné, arrêté de le fixer, revenir a la conversation de mes copines. Je ne pouvais pas me déverrouiller de son regards noir, c'est comme si il m'hypnotisais, comme si j'étais incapable de bouger. Mon corps ne voulais plus m'écouter. Je sent soudain mon ventre se noué car je le voie s'avancer vers moi. Il avait comme a son habitude sa capuche noir et son jogging. Sa capuche recouvrait la quasi totalité de son visage, elle ne laissait qu'apparaître sa barbe brune. A ma grande surprise sa barbe n'était plus entretenue comme d'habitude.

Il se met face a moi et me regarde puis détourne son regard pour le posé sur mes copines qui observait la scène. Il passa a côté de moi comme si je n'étais qu'un vulgaire fantôme. A se moment la mon coeur battait la chamade, il voulait comme sortir de ma poitrine. Les larmes montèrent. Mes jambes qui me supportaient était sur le point de s'écrouler.

Maïwen viens a mon secours, je ne l'avais même pas vue ou entendu.
Elle m'aide a traversé cette marée d'élèves, qui formait un barrage devant la grille du lycée. Nous passâmes la grille et aucun sons ou mots sont sortis de ma bouche. Je n'y arrive pas. Je suis blesser intérieurement, il m'a ignorer et considéré comme une vulgaire inconnue.

Toute la journée je ne fais que me demander comme il peut m'oublier en une journée, en un week-end je pensais que notre amitiés était sincère et forte mais apparemment sa n'étais pas le cas. Je me trompais sur toute la ligne. Maïwen compris d'ou venais mon problème.

-Louise, ma chérie ne te rend pas malade pour lui, il n'en vau pas la pêne. Tau ou tard il regrettera son comportement débile et enfantin, dit-elle en me caressants les cheveux.

-Oui je le sais bien mais comment on peut changer et tous oublié en une seule journée. Comment on peut m'en vouloir d'êtres heureuse. je ne comprend vraiment pas, dis-je au bord de l'explosion.

Elle me serra dans ses bras pour me réconforter. Je décide d'aller jusqu'à mon arrêt de bus, pour que cette journée se finisse. Je n'ai pas regarder une seule fois mon téléphone, je décide donc de le sortir et de consulter mes messages. J'avais une dizaine de message et deux appels manqué de J. Un soupir sort de ma bouche sans que je ne m'en rend compte. Pourquoi je soupir, c'est J pas un vulgaire inconnu qui m'envoie autant de message. Je décide de lui repondre.

Moi : Coucou désoler j'avais pas mon téléphone sur moi aujourd'hui, ça va toi

J : Louise tu ma fait peur j'ai crue qu'il t'étais arriver quelque chose. Oui ça va et toi?

Moi : Eu oui.. Enfin non pas vraiment, j'en ai marre des embrouille..

J : Comment sa explique moi ?!

Je lui explique le comportement de Nicolas et comme tous le monde il pense qu'il a des sentiments pour moi encore, mais la il s'énerve. Il crie presque au téléphone. Pourquoi se met-il dans un état pareil. Je ne comprend pas. Après un long silence il reprend la conversation mais plus tranquillement.

-Écoute Louise je suis un garçon et je t'assure que ton, soi-disant pote ne veux plus qu'une amitié avec toi. Et quand tu me dit que sa te fait mal tous sa j'ai l'impression que toi aussi tu veux plus avec lui, alors si c'est le cas je te laisse avec lui. Moi je ne partage pas les personnes que j'aime.

Je reste sous le choc, je ne pensais pas qu'il allait me dire sa. Je l'aime, je le sais je le sent en moi, il ma comme envoûté se weekend, je ne savais plus quoi répondre.

A la recherche du bonheurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant