A la recherche du bonheur

15.

J : salut ça va ?

Moi : oui et toi ?

J : trkl, tu as passé une bonne journée.

Moi : au ba une journée de cours normal ..

J : a oui je voie le genre.

Ma mère m'appel de la cuisine pour que je vienne mètre la table. Oui, je ne sais pas si chez vous c'est pareil mais je dois mètre la table et mon frère doit la débarrasser. Je fini de mètre la table en vitesse et remonte dans ma chambre reprendre ma conversation.
Je remarque qu'il ma renvoyer un message sur facebook, puisque je n'ais toujours pas son numéro.

J : au faite j'ai été voir tes photos et tu es mignonne je trouve ..

Quand je lus cette phrase je me mis a sauté dans toute mz chambre. Oui, bon, je l'avoue cette réaction était exagéré. Je repris mon calme et pris une grande inspiration pour rétablir de la stabilité au niveaux des battements de mon coeur. Puis je répond.

Moi : toi aussi tu es mignon sur tes photos

J : merci Louise

Moi : de rien J

J : si non tu fait quoi dans la vie ?

Moi : je suis au lycée, en terminal bac pro ASSP et toi ?

J : mon aussi je fait un bac pro mais en commerce

Moi : d'accord

J'entendis ma mère criant de toute ses forces en bas, elle me demandais de descendre manger. Je lâcha donc mon téléphone pour descendre avant que sa ne sois mon père, qui vienne me chercher de force. A la fin du repas je ne faisais que penser a J .
Je ne sais pas pourquoi mais de garçon m'intriguais. Il était mignon en plus, un bonus en plus. Je remonte et voie qu'il ne ma pas reparler alors je décide de le taquiné.

Moi : tu parle pas beaucoup comme mec

J : pourquoi ? Tu t'y connais bcp en mec ?

Moi : ahahah, non c'est pas pour sa, c'est parce que j'ai l'habitude des mecs qui parle plus

J : ah mais je peut parler aussi tkt pas

Moi : d'accord. J'espère parce que moi je suis une pipelette, et je suis très curieuse aussi

J : a c'est cool sa !

Moi : bon si non, tu as quel âge ?

J : tu me donne combien ?

Non mais je rêve il a sorti ma phrase la ! Il a pas le droit il ma piqué ma réplique. Voleur va.

Moi : 18-19

J : j'ai 18 et toi tu as quel âge ?

Moi : a toi de deviner

J : hum je dirais 18

Moi : exact

J : tu fait du sport ?

Moi : je faisais, mais j'ai arrêté car j'ai eu un problème au genoux et toi ?

J : moi je fait du rugby

Mais non il fait du rugby !! Mais il est parfait se mec. A oui moi est le rugby c'est tout une histoire, même une histoire de famille. Toute les mecs de ma famille du côté de mon père font du rugby. Mon père, mon grand père, mon frère, mon cousin, bref je viens d'une famille de rugbyman. Les rugbyman sont sexy, je trouve. Je ne sais pas pourquoi.

Une longue conversation autour du rugby débuta. Il me plaisait de plus en plus enfin en apparence. Je me méfiais des mecs depuis mes histoires qui se sont toutes mal finies. Les mecs me faisaient de beau discours pour m'avoir, se qui marchait, et ils le brisaient après. Le dernier mec que j'ai vraiment aimé de tous mon être, et tous mon coeur, ma trompé deux fois pendant les vacances d'été. Depuis se jour la je déteste les vacances d'été et je ne fait plus confiance. Je m'étais forger une carapace.

Après une longue conversation sur le rugby, je décide d'aller me coucher. A ma grande surprise il me demanda mon numéro. Sans hésiter je lui donna.
Le lendemain je part en cours, a la pose je rejoins les filles. Je raconte tous comme promis a Charline mais aussi a Maiwen. Elles poussèrent des cries comme des folles. Au même moment un bras m'entoura le coup, et des lèvres m'embrassèrent la tête. Sa ne pouvais êtres que Nicolas. Bingo !

- Comment ça va ma puce ?
- Bien et toi?
- Ça va. Tu as cours après ?

Les filles m'annoncèrent que notres professeur d'anglais était de nouveaux absente.

- Et bien non.
- Tu veux que je reste avec toi pendant une heure ?

Je vous rappelle qu'il habite a côté du lycée.

- Je veux bien.
- D'accord. Tu n'as pas intérêt de fumer par contre. Dit-il avec un regard noir.
-Je vais me gênée, tiens . Maiwen d'ecale une clope s'il te plais.

Je sentis le regard menaçant de Nicolas parcourir ma colonne. Je me retourne et lui fait un sourire. Il essayait de m'ignorer, mais telle une bonne chieuse, je lui pris la tête pour qu'il me regarde. Il ne pût résister. Il me souri et me pris dans ses bras.