A la recherche du bonheur

18.

Après 30min de someil, si l'on peut appelée sa du someil, je me lève et part me préparer. A ma grande surprise j'étais en pleine forme. J'étais même plus énergique que les jours normaux d'une semaine de cours.

Je part prendre mon bus je senti soudain une douleur sous mes yeux, c'était la fatigue de cette nuit qui me ramenait a la réalité. Je n'étais pas si en forme que ça.
Je sent que la journée va êtres dur.
Arriver devant les grilles du lycée qui étaient encore fermer, je m'assois sur un bac a côté de mes copines et de ma cousine. Je n'était plus la mentalement, mais physiquement on me croyais la. Tous le monde parlait, j'en avais des maux de tête. Je saisis mes écouteurs pour mètre une musique, qui je le savais allait me réveiller en douceur, contrairement a tous ces piaillement.
Toutes les filles arrive, je les rejoint tel une mort-vivante. Personne ne remarque ma fatigue, qui pourtant est flagrante. Je suis tous le monde jusqu'à ma classe puis m'installe au premier rang a ma place a côté de Maiwen.

-Louise! Dit-elle en passant sa main devant mon visage.

-Oui c'est moi. Dis-je en sursautant.

-Ça va ? Tu as l'aire ailleurs ?

-A non du tout je suis bien la, mais je n'ai pas dormi de la nuit, enfin si 30min avant l'heure de mon réveil.

-Mais qu'es que tu as foutue cette nuit ?
-J'étais au téléphone avec J .

Elle semble étonné que je dise sa sans aucune émotion, comme si cela était normal. Elle ne chercha pas a comprendre et suivi le cours, pendant que moi j'étais dans mes pensées, je n'entendais absolument rien de se que notre professeur de biologie était entrain de nous enseigné.
Les cours s'enchaînent, je m'endors dans 1h de français, puis 1h d'anglais.
Je n'assume absolument pas cette nuit passé au téléphone avec lui. D'ailleurs il me manque un petit peut, pourquoi je ne le sais pas.

A la pose je sort comme d'habitude. Nicolas viens a ma rencontre et je pose ma tête sur son épaule. J'étais littéralement épuisée. Il mes sa main dans mes cheveux et me les caresses, comme si il ressentais ma souffrance de rester éveillé et qu'il voulait l'apaiser. Un sourire se dessina sur mon visage et les filles me regardaient avec interrogations comme toujours. Je ne comprend vraiment pas qu'elles soient encore étonné de notre comportement. C'était devenu normal.

Mon téléphone vibre, j'ai un message.

J : coucou toi ça va ?

J'avais envie de lui répondre mais je savais que Nicolas allait très mal réagir. Comment allais-je lui annoncer sa. Je sais que sa paraît ridicule mais la relation que nous entretenons est tellement particulière.

Nous sommes maintenant vendredi. J'ai passer la semaine car c'est le jour ou tous bascule. Ou ma vie change vraiment.

Je me rapproche de J je le voie se week-end. Comme par hasard les filles et moi nous en parlons, soudain Nicolas débarque de nul part et me prend dans ces bras. Je suis devant lui et lui se trouve derrière moi et ces bras m'entour les épaules. Je suis terriblement gênée de la situation. Comment vais-je lui dire que je parle a un garçon qui me plais, comment vais-je lui annoncé que je vais le voir se week-end. J'ai tellement de question. Elles sont vites coupé par la bombe que ma copine lâche devant Nicolas. Mon coeur bat de plus en plus vite, je cherche du soutien dans le regard de Maiwen. Elle essaye tant bien que mal de m'aider.

Nicolas se détache brutalement de moi et me lance un regards meurtrier. Fière comme je suis, je l'affronte. Et la c'est le drame.
-Comment sa tu vas voir un mec se week-end ! Qui est-il ! Depuis combien de temps vous vous parlez ! Dit-il avec beaucoup de fureurs.

-Je..je lui parle depuis maintenant un peut moins d'1mois, et je vais le voir samedi précisément.

Je sais que je m'enfonce mais, je dois l'affronter coûte que coûte. Je luis explique tous Maiwen tante d'intervenir en vein. Nicolas me regarde de la tête au pied et part.
-Nicolas, tu te barre sans me dire au-revoir non mais je rêve la !

-Ouais ouais va le voir !

-Nicolas dis-je en hurlant dans la rue.

Il revient en mode énervé comme jamais.

-Salut. Me dit-il en sèchement et me tendant sa mains pour que je le tchèque.

Non mais je rêve la! Il se fout de moi. Même pas un bisous. Maiwen me regards étonné, bouche-bée. Vexer je lui dit gentillement d'aller se faire voir. Il part aussitôt avec ses potes en me disant d'un air défiant.
- Part avec ton J la ! Aller au revoir.