13.

74 3 0
                                    

Je regarde mon écrans de téléphone et je n'y croie pas, il m'avait ajouté. Mais il me connait pas pourquoi m'a-t-il envoyé cette invitation. Il me trouve peut êtres belle qui sait. Bon Louise reviens dans le monde réel il ta ajouter car tu a aimer sa photo rien de plus.
J'accepte son invitation puis verrouille mon téléphone. Mes paupières devinrent lourdes, et des violents piques tapaient mes yeux. Un someil profond s'installa et je me laissa partir dans les bras de morphée.

Je me réveil en sursaut, les cheveux en vrac devant ma figure. Je regarde instinctivement mon téléphone et voie 7h10. Au mon dieu plus que 20min pour, déjeuner, me lavé, m'habiller, me maquillé et me coiffé. Je sentis une vague d'adrénaline mais aussi de stress m'envahire. Je cours de par tous, je prend la décision de ne pas prendre de petit déjeuner (je vais le payer cher). Je fonce dans la salle de bain, puis j'en ressort comme une folle avec mon tee-shirt de travers, des chaussettes de différentes couleurs et taille. Un vrai carnage. Plus que 5min. C'est pas possible je vais jamais avoir min bus. Je fais mon teint et me coife, aucun maquillage, je n'ais pas le temps. Je prend mon sac et un long gilet et cours vers mon arrêt de bus. Par chance mon chauffeur m'attendais. J'arrive essoufflé a la porte du bus et m'assois. Mon bus arrive au lycée. Ma cousine était déjà sur place. Je la rejoins. Elle a du elle aussi se réveiller en retard, vue le visage fatigué qu'elle avait.
-salut ça va ? Dis-je toujours aussi essoufflé.
- ouais, tranquille. Toi aussi tu as loupé ton réveil se matin? Dit-elle en rigolant.
- Ba oue regarde la tronche que j'ai.
-Toi ça va, regarde la mienne on dirait un zombi. Enfin bon toi même tu sait pourquoi mes yeux sont comme sa. Dit-elle en me faisant un clin d'œil.
-Je croyais que tu devait arrêter. Dis-je d'un ton sec.
-Je ne pourrais jamais arrêté, je suis dépendante. Je dois en fumer je ne sais plus combien pour êtres défoncé.

Je ne relève pas. Je savais qu'elle ne pouvait pas arrêté comme sa. Toute mes copines arrives, on parle, on rit, puis je voie au loin Nicolas s'avancer vers la grille. Il jette un coup d'œil de nôtres côté et je le regarde le plus froidement possible. Je sentais en moi les événement de la veille me revenir. A force de me ressasser le passé ma tête me fis mal. Je senti une bard me traverser le crâne. Je ni prete pas beaucoup d'attention et m'avance a mon tour vers la grille, pour rejoindre mes cours.

Toutes la mâtiné j'eu des vertiges, des nausées et des maux de tête. Je me dirige avec Maiwen et Charline vers le café ou nous mangions. Ma tête tournais je me sentais vraiment mal. Les filles l'ont remarqué et mon aidé a atteindre une banquette qui se trouvaie dans notre café.
-Louise, ça va ? Tu es toute blanche dit donc ! Dit Charline d'un ton inquiet.
-C'est vrai que tu es toute pâle. Tu te sent pas bien ? Dit Maiwen aussi inquiète que Charline Je t'ai vue se matin en cours tu t'es à moitié endormi sur la table.
-Je suis si blanche que sa ?! Dis-je étonné.
-Oui, répond-elles en coeur.
-Je me suis levé en retard se matin je n'ai donc rien manger, j'ai le ventre vide. Et je pense que c'est ça, qui ma donner des nausées, des étourdissement etc.
-D'accord, dit Maiwen d'un ton plus serein.
Nous commandons, puis tous ces problèmes partirent. Les filles me posaient dix mille question sur moi et Nicolas. Je ne pouvais jamais être tranquille. Je ne voulais plus lui parler se que je fis comprendre aux filles. Elles comprirent mes raisons et nous retournâmes en cours. La journée passe.

Le soir je me connecte sur facebook, car toute la journée j'ai, on va dire, ignorer volontairement mon téléphone. Je m'aperçois qu'une conversation facebook avec un certain (je ne meterais que la première lettre de son prénom) " J ".

J : Salut

Je ne savais pas si je devais répondre ou non. Au et puis mince, aller répond lui sa te coûte quoi?

Moi : Salut

A ma grande surprise il répondit vite.

J : ça va ?
Moi : oui et toi?
J : ça va tranquille
Moi : d'accord. On se connais ?

Mais qu'elle idiote je suis franchement. Bien sûre que non on ne se connais pas.

J : eu non enfin je ne croie pas
Moi : d'accord. Si non tu fait quoi.
J : je suis chez des amis a mon père et toi?
Moi : ba moi jsuis chez moi rien de spécial.
J : je reviens je vais manger mais on parle après si tu veux. Tu as l'air gentille.

Il se déconnecta directement, je n'ai pas eu le temps de répondre. Il avait lui aussi l'air gentil. Sa changeait des autres mec qui venait me parler, en essayant des technique de drague pourrite. Je savais que lui il y aurait d'autres chose derrière. (Je ne m'étais pas tromper)

A la recherche du bonheurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant