Torture

chapitre 3 (la femme enceinte)

Il s'était écoulé plus d'une heure depuis que notre jeune meurtrière retenait dans sa demeure une jeune mère âgée de seulement 28 ans. En considérant son énorme ventre, on pouvait deviner qu'elle portait de nouveau la vie.

Cette femme allait mourir, c'était un fait. Mais étrangement, pas un cri ni un rire ne résonnaient. Peut-être parce qu'au lieu de commencer la séance de torture, notre psychopathe préféra contempler l'horizon.

L'air frais caressait doucement le visage bronzé de la jeune fille, ses cheveux noirs corbeau. Tenant un couteau à la main, son regard ne quittait pas les oisillons perchés sur l'un des arbres.

Pourquoi cet intérêt soudain pour ces pauvres animaux qui se nourrissaient de vers de terre ? Lisa tourna enfin la tête vers cet endroit macabre et prit un petit pot rempli de lombrics se trémoussant à l'intérieur. Voulait-elle nourrir la jeune femme avec ces insectes ?

Non, elle plongea sa main dans le pot et en prit deux, qu'elle déposa sans grande douceur dans les narines de sa victime, cette dernière étant bien sûr bâillonnée. Les animaux suivirent leur chemin dans les narines de la gestante, provoquant un sourire narquois chez la folle. Elle répéta cette expérience avec d'autres vers jusqu'à ce que le pot soit vide, créant une sensation désagréable dans l'estomac de la jeune femme.

McLaren ne s'arrêta pas là. Nous la vîmes prendre un autre petit pot, cette fois rempli de "mille-pattes". Elle s'abaissa par terre, souleva la robe de la jeune femme, écarta les cuisses de la malheureuse avec des barres d'écartement. S'approchant malicieusement, elle déchira un morceau de tissu couvrant l'intimité de la femme. Elle enfonça le pot, sans retirer le capuchon, dans l'orifice génital de la dame.

Effectuant des mouvements circulaires et brutaux, elle tortura l'intimité de la femme qui grognait de douleur. Lisa jugea que l'appareil génital de la victime était suffisamment dilaté, retira le pot, mit des gants, prit un des monstrueux animaux de l'objet et l'enfonça à l'intérieur. Elle répéta ce mouvement jusqu'à ce qu'il ne reste plus que la moitié dans le pot.

Elle ne s'arrêta pas là malgré les supplications et les pleurs de la victime. D'un coup, elle planta un couteau dans le ventre de la femme, répétant cette action jusqu'à ce qu'elle ait cinq couteaux plantés dans le ventre alors qu'elle était enceinte.

Elle s'en prit ensuite aux cheveux de la jeune femme. Les lavant avec du gaz, elle y mit le feu. L'intérieur de la cave sentait le brûlé, et les cris d'agonie semblaient retentir à travers la terre entière.

La psychopathe bougea ensuite les différents couteaux qu'elle avait installés dans le ventre de la femme dans tous les sens. Elle ne tarda pas, car le résultat fut instantané. La peau de la malheureuse pendait, le sang coulait à flots, et on pouvait même apercevoir des vers marchant dans la chair de cette dernière qui succomba sous la torture.

À la fin de cette séance sanglante, nous découvrons sans peine le corps de la jeune dame étendu par terre, baignant dans son propre sang. Son fœtus gisait à côté d'elle, mais les différents animaux semblaient lui porter un intérêt particulier car ces insectes dévoraient le cadavre de cet enfant prématuré.

Cette dépouille était encore reliée au corps sans vie et méconnaissable de sa mère.

La tête de la dame était à moitié brûlée, des petits morceaux de cerveau noirci étaient visibles. Sa bouche était recouverte de lombrics, son intimité était dévorée par les mille-pattes. Son ventre était dans un état à couper le souffle ; ses organes avaient été retirés, sa peau hachée, mais évidemment, aucune trace de cœur.

Cette scène, qui aurait choqué plus d'un, provoqua la jouissance de Lisa McLaren. Oui, elle se délectait de la misère qu'elle avait infligée à sa victime. Quelle sorcière !

                                                                    

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Les aventures de Lisa McLaren.