Chapitre 9

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TW:tentative de suicide.

Je suis toujours enfermée dans les toilettes je n'ai pas envie d'aller en cours. Je réfléchis sur la raison de mon existence mais je sais que Lando tient à moi...mais se que je vit est trop douloureux.
Je veux mourir.
J'hésite a m'enfiler mes antidépresseurs, je suis tombée en dépression quand mon père est décédé, personnes arrivaient à me faire sourire, j'étais morte de l'intérieur, ma mère me détestait et me frapper tous les jours, je ne pouvais plus cacher les blessures qu'elle me faisait, jusqu'à ce que Daniel soit venu me chercher car il a appris se que maman me faisait.
Je décide de retourner en cours de physique chimie, la matière ou je suis la plus nulle.
«Bonjour M.Regati, désolé pour le retard,je ne me sentais pas bien.
-Tu es sûre que tu n'est pas allée te faire vomir? Me dit Safa.
-Safa! Sa ne vas pas non! On ne dit pas cela à sa camarade voyons! Zoé va à ta place.
-Oui messieurs.»dis-je pour aller à ma place.
Je suis à côté de Camille, au dernier rang. Elle aime bien me chuchoter des choses blessante à mon oreille.
Je m'installe et sors mes affaire, je décide de terminer ma nuit que j'ai passé à pleurer.
Je m'endors paisiblement quand soudain...
«Mademoiselle Ricciardo! Vous n'êtes pas ici pour rêvasser et essuyez votre bave on dirait un caniche.»
Je sors de la classe en pleurant, je me réfugie dans mon endroit où je peux être tranquille.
Les toilettes.
Je me réfugie donc au toilette et je sors ma boîte d'antidépresseurs, je sors la lettre que j'ai depuis l'accident, la pose au sol, et commence à m'enfiler le boîte de médocs.
Je me sent partir et sa me fait du bien...
Je m'endors paisiblement.

PDV de M.Regati:
Je sais que je l'ai blessé et je m'en veut, elle a vécu des choses terrible et je rajoute une couche, je décide alors de partir dans son endroit où elle aime bien se réfugier.
Les toilettes.
J'arrive donc au toilette et voit une porte fermée.
«Zoé? Pas de réponse
-Zoé!»Toujours pas de réponse
Je défonce alors la porte et je voit son corps au sol avec une boîte de médicaments.
Putain elle a tous enfiler. Je l'emmène vite à l'infirmerie et appelle une ambulance.

L'histoire d'une fille ordinaire mais pas tropOù les histoires vivent. Découvrez maintenant