𝕁𝕦𝕘𝕖𝕞𝕖𝕟𝕥

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𝐑𝐨𝐬𝐞́ 

Mon nom est Rosé, Je suis morte. Il y a bien longtemps. Dans ma vie, je n'ai jamais vraiment fais quelque chose de mal. Pourtant j'ai atterrie en Enfer, je fais même partie des servantes personnelles d'Hadès...Aujourd'hui un jeune homme m'a vue dans la rue, j'appréhendes donc sur le jugement du Dieu des Enfers...

J'étais assise sur un muret et ce jeune homme m'a aperçue, je suis partie en vitesse mais c'était déjà trop tard, lorsque je réapparu dans le royaume des morts, des flammèches bleues apparurent autour de moi. Ces Flames bleutées signifient que Hadès nous cherche et une fois que les flammes nous consume entièrement, nous apparaissons devant lui c'est une sorte de téléportation. J'apparue alors devant lui vêtue des habits que j'avais endossé pour ma viré dans le monde d'en haut (média) .

Hadès :  Rosé. Dit-il d'une voix tonitruante et grave.

moi : oui.  dit-je apeurée tout en m'agenouillant au sol.

Hadès : Tout d'abord, quelle est cette tenue ? 

moi : une...une tenue de vivante maître. répondis je toujours apeurée

Hadès : MAIS TU ES MORTE ! Crit il agacé 

moi : je...oui. 

Il claqua des doigts et je me retrouvait vêtue de ma robe de servante infernale

(nda :  infernale dans le sens : qui vient des enfers)

(la tête de la dame n'a pas d'importance )

(la tête de la dame n'a pas d'importance )

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Hadès : Voilà qui est mieux. 

moi: ....

Hadès : REPONDS ! 

moi : ou...oui maître.

Hadès : Sais tu pourquoi tu est ici ? 

moi : je...je.. un vivant. tentais je d'une voix inaudible. 

Hadès : Un vivant ? haha~ oui, un vivant et qu'a t'il fait ce vivant ? 

moi : il...il m'a v...v-

Hadès : OUI ! il t'as VUE ! Répètes ! 

moi : il...m'a...vue. Répétais je d'une voix faible et tremblante. 

Hadès: C'est ça...et sais tu ce qui arrive au mort des Enfers qui ce font voir par des vivants ? 

moi : non...dis je au bord des larmes. 

Hadès : TORTURE ! TRAVAUX FORCES ! ETRE DONNE A MANGER AU CERBERE ! et tant d'autres  choses...délicieuses~

moi : non...Je vous en supplie. dis je en laissant coulé quelques larmes. 

Hadès : Oh, Rosé tu pleures ? Dans ce cas c'est moi qui m'occuperas personnellement de toi ! 

moi : non...s'il...s'il vous plait...

Hadès : comment ça ? cela ne te réjouie pas que je m'occupe moi même de toi ? Dans ce cas, je vais te laisser à Lucifer...

Sur ce il me laissa, en plan sur le sol avec mes larmes. Les Gardes de la Géhennes entrèrent dans la salle et me saisirent par les coudes. Ils me jetèrent dans une barque, équipée d'une petite bougie elle même enfermée dans une vitre, et me laissèrent descendre le Styx pour rejoindre Le diable. Je pense avoir dérivé pendant 7 bonnes heures avant d'arrivé à quais, Je fut réceptionné par de petits fétiches constitué de pierre volcanique. Me voilà dans la partie la plus sombre de l'Enfer. De touts les cotés je pouvais apercevoir des humains se faire fouetté et d'autres forgé du fer, se renversant de la mixture brulante sur le corps. Je pouvais également voir des jeunes filles attachées, à la merci des Gardes Infernaux, qui sais ce qu'ils feront d'elles... En plus de toute ces horreurs je remarquer dans les coins de jeunes enfants se faire écorché vifs par des fétiches, enfin vifs, ils sont déjà morts...Je tentai de ne pas regarder mais c'était plus ford que moi chaque bruits, chaque sons, chaque voix me forçait à tourner la tête pour m'assurée de l'état du propriétaire. 

fétiche : Toi venir avec moi pour vois grand maître Lucifer. 

moi :.....

Une fois avoir traversé des champs et des champs de ces horreurs, nous arrivons devant une grande porte, le fétiche prononça des paroles dans sa langue pour l'ouvrir. 

fétiche : Amqwae flitch rusorum~ 

(jugez pas j'ai fait au pif ) 

A ces mots la porte s'ouvrit , certes, mais juste assez pour nous laisser passer. Il m'emmena ensuite dans une grande salle dans laquelle se trouvait un grand trône et sur ce trône il y avait une petite fille, elle était terrifiante. Elle possédait des yeux blanc comme du lait et des cheveux blond sale, elle était également habillée d'une robe noire déchirée et trouée. Dans ses mains logeait un petit sceptre surmonté d'une flamme noire. Au dessus de sa tête on pouvait apercevoir deux petites cornes rouge et dans son dos sa vielle robe trouée laisser passer deux grandes ailes, pareille à celles d'un dragon mais la peau du dessus était en décompositions et faisait apparaitre les os. Dès qu'elle me vit un sourire diabolique apparu sur son visage démoniaque. 

Lucifer : Ah~ tu dois être la servante à punir ! non ? s'exclame t'elle avec sa voix de crécelle 

moi : ou...oui. 

Lucifer : parfait ! viens la ! 

Elle s'envola avec le peu d'ailes qui lui restait et vint m'agripper les épaules, je ne put m'empêcher de hurler au contact de sa peaux brulante sur mon corps. 

Lucifer : Tais toi un peu et préserve ta voix pour dans quelques minutes ! 

Je me tu et je déglutit. De loin on pouvait apercevoir un volcan, La petite diablesse se dirigeait vers lui et d'un atterrissage violent, elle se posa devant une petite porte juste un peu plus grande qu'elle.  Cela signifie que je vais devoir me baisser pour rentrer.

Lucifer : allons-y ! 

Elle agrippa mon poignet et elle me tira à l'intérieur, je du effectivement me baisser pour ne pas me prendre le montant de la porte en pleine face. Elle me poussa ensuite dans une salle et m'accrocha à l'aide de vielle chaîne rouillée sur le mur. Et c'est là que commença mon calvaire. On pouvais entendre mes cris de douleur et de terreur dans tout le volcan. On entendait également le claquement des chaînes lorsque je me débattais contre la douleur, le rire de La diablesse était fou, glacial et glauque, à ce moment là je compris vraiment le sens de l'expression « à glacer le sang ». 

Au bout de bien 10 ou 11 heures je ne sais plus, Le diable parti, Pour je ne sais quelle raison, elle n'avait pas remarqué qu'elle avait découpé mes chaînes  et que je pouvais maintenant m'enfuir. J'utilise se qu'on appelle magie morte, la magie des fantômes, cette magie nous permet de nous régénérer et de nous téléporter ou nous le souhaitons.  Je me téléporte donc dans le monde des vivants, mais je n'arrive pas à l'endroit prévu.  On dirait une maison. 

Moi : Où suis je ? Dit je avant de m'écrouler sur le sol et de perdre connaissance. 

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A suivre pour bientôt 

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