CHAPITRE : 67

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Bonjour/Bonsoir Salam Aleykoum

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Il se redressa et je me retrouvais les pieds et mains bloquer par son emprise

Il captura mes lèvres et je sentis sa main glisser jusqu'à mon bas ventre

c'était de trop pour moi à ce moment où je ne pouvais qu'espérer qu'Allah me vienne en aide je perdis connaissance

~ POINT DE VUE Naïm ~

Elle est là, juste devant moi cette femme que j'ai longtemps désiré.
Sa peau caramel à ma merci elle essayait de se débattre mais inutile car nul ni personne ne m'empêchera de déguster ce fruit qui m'a tant fais rêver

Je ne céderait pas, cette matinée est l'accomplissement ultime de ma vie qu'importe les conséquences...

Je glissait ma main sur chaque parcelle de ce terrain qui a déjà un propriétaire

Mais même le créateur ne se mettra pas entre nous, ma main alla jusqu'à son bas ventre et elle se raidi

Elle a arrêté de crier elle ne bougeait plus, je pense qu'elle est morte *rire*

Ma main continuait d'avancer tant dis que ma bouche elle était occupé ailleurs...

rassurez vous mes bien aimé j'ai dégusté le fruit et Fatima est mille fois meilleurs que ce que je me suis imaginé, l'ébat terminer j'observais mon œuvre mon travail bien accomplie

Ma semence coulait encore, Fatima elle n'était plus totalement là, dommage elle n'a pas pû rester consciente et profiter de notre
alliance

Me tenant là j'observais ce ventre rond à peine visible, j'eu des envies de faire du mal à cette chose qui n'est malheureusement pas mon œuvre mais je me suis dit que le temps allait me manquer, et entre vous et moi j'espère pas avoir à confronté Kasim *rire*

Je me relève de ce lit victorieux et porte en une fraction de temps mes vêtements, avant de disparaitre dans la nature....


~POINT DE VUE Kasim~

Pendant que Fatima m'appelais j'étais en pleine réunion avec des investisseurs étrangers exigent

La réunion à peine terminer, je ne prends pas la peine de les saluer

Je sors directement du bureau puis de l'immeuble les nerfs tendu, je prends ma voiture mais lorsque je décide de démarrer elle n'avance pas j'essaie encore et encore mais rien

J'hurle de rage et de colère car lorsque j'imagine que ma femme est peut être actuellement en danger et surtout que c'est de ma faute m'énerve au plus haut point

Je prends mon téléphone et compose le numéro de Samir en espérant qu'il réponde, et au bout de quelque temps il reprend enfin

Samir - Selem ça dit quoi

- Samir tu es où ?

Samir - avec des meufs, et une chicha

- Samir je suis sah arrête de plaisanter, retrouve moi en voiture devant la compagnie s'il te plaît

Samir - déso je suis avec Rima et toi même tu sais les femmes enceintes et leurs caprices

- SAMIR ! FATIMA EST AVEC NAÏM À LA MAISON DÉPÊCHE TOI DE VENIR ME CHERCHER MERDE

Il raccrocha sans rétorquer et moi à cet instant je me suis sentie tellement con d'avoir consciemment laisser Fatima avec lui

Je regrette tellement, mais quesque je pouvais bien faire d'autres ?

Inchaallah rien n'est arrivé à ma femme...

J'essayais de me calmer mais j'arrivais pas à avaler la pilule je commençais à frapper le volant de la voiture je suis resté là, plus d'une demi heure à attendre Samir avant de le arriver

Je suis sorti de ma voiture et commençais à me diriger vers la sienne

Il deverouilla les porte et je suis rentré

Samir : qu'es qui ce passe ! Tu m'appelles tu hurle t'as cru j'étais ton fils ?

: roule ! Samir ferme ta gueule et roule !

Samir : tu as de la chance il s'agit de Fatima sinon je t'aurais fait ravaler tes mots

Il se mit à rouler et je m'étais entre temps calmer car je me suis dit peut être c'est rien Fatima aime bien plaisanter peut être elle veut juste me zehef

Je me rassurais tant bien que mal mais au fond de moi j'étais pas serein

On arriva enfin et Samir gara je suis descendu et me dépêcha d'ouvrir la porte

: FATIMA !

Elle ne répondit rien je suis allé voir dans la cuisine elle n'y était pas, Samir entra après moi

Il me contourna et alla s'asseoir au Salon comme si de rien était

Je monte à l'étage nerveux et me dirige directement dans notre chambre mais elle n'y était pas

J'espère vraiment qu'il ne s'agit pas d'une mauvaise blague

: FATIMA ! MERDE SORS TU CROIS J'AI RIEN À FOUTRE DE MON TEMPS ?

j'ouvrais les portes et elle n'était nul part ailleurs, à un moment je voulais l'appeller et je remarqua une porte entrouverte

Je remis mon téléphone dans ma poche et avança vers la porte mon cœur battait tellement, j'avais peur mais de quoi ?

J'avançais et arriver devant la porte....
























Mon Mariage Arrangé Avec Un Rebeu Où les histoires vivent. Découvrez maintenant