LIÉS

Chapitre 24

Point de vue de Mohamed.

Quand j'ai aperçu Anna Christy dans le salon quelques heures plutôt avec mon frère j'ai beugué une fois de plus, oui car elle me fait craquer à chaque fois.
Aujourd'hui encore elle a réussi malgré mon attitude morose.

Elle est tellement belle et cette robe lui va à merveille, je déteste déjà tous les mecs qui l'ont regarder dehors.

Je me sens faible face à elle que je ne peux pas m'empêcher de m'approcher tant je suis attiré par elle.
La malice sur son visage lorsqu'elle m'a demandé de ne point me contenir, j'ai trop envie de pousser le bouchon plus loin mais j'hésite, alors je lui dis tout en caressant sa joue de mon pouce.

— Je ne vais pas pouvoir m'arrêter si je commence.
— Alors t'arrête pas. Me dit-elle.

Comme pour briser toutes les barrières elle m'embrasse à pleine bouche entourant mon cou de ses bras.

Elle prend les choses en main la petite !

Je l'embrasse avec fougue, elle m'a énormément manquer même si nous nous voyons pratiquement tous les jours. Ce n'est pas tout les jours que je peux l'avoir pour moi tout seul comme à cet instant.
Je l'emmène sur le lit toujours collé à moi, nos souffles court tant nos langues se sont retrouvés à danser l'une avec l'autre.

— Tu es sûr que tu veux le faire ? Je demande encore un peu hésitant.
— Oui je suis certaine. Dit-elle avec de la confiance dans son regard.
— Ce n'est pas comme ça que je l'imaginais notre première fois mais j'avoue que même comme ça c'est spécial, tu es spéciale mon amour.
— Je t'aime tu...

Je ne lui laisse pas le temps de terminer sa phrase que je l'embrasse cette fois ci en caressant son ventre, je sens ses frissons partout sur son corps. Sa poitrine se soulève sous mon torse et sans m'y attendre elle me retire mon t-shirt, ses mains se baladent dans mon dos et sur mon torse.

C'est qu'elle est entreprenante la petite !

Je ne sais pas comment j'ai réussi à me contrôler jusque là pour ne pas lui avoir enlevé ses vêtements plus tôt, elle réussit à m'exciter sans effort.

J'ai connu pas mal de filles avec lesquelles j'ai couché mais je n'ai jamais ressenti ce que je suis entrain de vivre actuellement avec ma petite fée, elle est trop spéciale.

Personne spéciale, mesure spéciale.

Je l'embrasse sa poitrine par dessus sa robe en lui caressant l'entrejambe tout en me délectant de ses gémissements qui m'excite encore plus.

J'allais lui enlever sa robe quand la porte de ma chambre s'ouvre en fracas avec la voix de ma sœur.

— Momo je v... Oh. Elle se retourne et quitte la chambre.

Je me laisse tomber sur le côté en soufflant bruyamment.

— Je suis désolée. Murmura Christy en se redressant.
— Non c'est moi qui suis désolée de t'infliger ça j'aurais dû fermer à clé.
— Ne t'inquiètes pas, va la voir elle doit avoir un truc important à te dire.
— Oui je reviens tout à l'heure.

Je l'embrasse, mets mon t-shirt et sort de la chambre.
Je vais péter un câble, je vais commettre un meurtre.

— Qu'est-ce qui t'a pris de rentrer dans ma chambre sans frappé ?

Je demande à l'intention de ma sœur qui se retourne pour me faire face.

— Je suis désolée Momo je ne savais pas que...
— Pas que c'était une chambre de garçon et que tu devrais frapper avant d'entrer.
— Je suis désolée Momo c'est juste que je voulais présenter mes frères à mon petit copain je ne pouvais pas savoir que tu serais occupé, excuse moi.