XII

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Mon père se retourna vers moi . Il montas les escaliers et dépassa ma chambre.
- Papa tu fais quoi ?
- Ta mère m'as dit que tu mangeais moin.
Il allumas la lumière de la salle de bains et avec son pied, couliassa la balance rangée sous le meuble . Il me déposa dessus et l'allumas .
- Maintenant Charline regarde ton poids !
Je fermis les yeux. Non .je ne voulais pas .
- Charline regarde !
-Non !
-  Bon ne regarde pas la balance mais devant toi
J'entrouvas les yeux et me trouvais face à un miroir.
- Regarde toi Charline tu n'as plus que la peau sur les os , tes cotes song près à transpercer ta peau à chaque seconde .
L'espace d'un instant, je me vie : des cernes si noire , mes os de ma cage thoracique ressortait . Mes larmes coulait. Puis ma vision changeas et je vis cette fille, énorme qui le degoutait. Je m'effondras au sol et vomis . Je décala mon père et partie l'enfermer dans ma chambre.
JE LE DÉTESTE ! IL M'AS FORCÉ À ME REGARDER..
C'est bon . Ce soir, c'est LE soire. Je n'avancerai plus dans ma vie .
La boîte de somnifères à côté de moi me tentait. Je la pris et la vidas . Un pure plaisir se fit sentir dans mon corps. J'écris ma lettre d'adieu puis m'approcha de la fenêtre. Je l'ouvris . L'aire frais et polluer de Nantes me fis sourires dans le noir. Je m'asseyais sur le bords.
Et me laissa basculer de l'autre côté.
Désolée .

Ma mère ouvrit les volets du salon et vis mon corps . Inertes.
Elle montas en pleure danse la chambre. Vis la plaquette de somnifère vide et ma lettre.
_ Maman, Papa. Mon départ doit bien vous surprendre mais je n'en pouvais plus .On m'harcelais tout les jours. J'ai failli en mourir hier si Clem et Laurie n'étaient pas là mais finalement sa n'as que décaler ma mort de 3h . Je ne veux pas leur gâche la vie en disant leurs nom mais si ils ont du coeur ils se dénonceront seul. Vous m'avez toujours dit que j'étais trop gentille et c'est le cas . J'ai aussi développé des tca . Je me suis scarifié. Désolé je vous aime ._

Ma mère ne réussi plus à respirer. Ce n'était pas un accident.
Mon père essayait de me réveiller tout en appelant les secours.

L'ambulance arrivas , ils me mirent en revanche même si ils avaient peur d espoir. Mes parents restairent chez nous .

Déguisé en squelette Où les histoires vivent. Découvrez maintenant