2 heures plus tard :J'avais repris ma route à contre cœur l'idée de ne pas pouvoir revenir en arrière m'étais insupportable , mais je devais rentrer. Car même si la suite s'annonçait compliquée j'avais déjà vécu pire, bien plus pire. Je pris soin d'emporter le corps de Ariel avec moi. Elle est donc sur mon dos en ce moment même.
Je sais d'avance que Joy et moi on va se disputer à mon arrivée ,si elle a finit les cours du moins car c'est vrai que je ne sais même pas l'heure à laquelle nous sommes. Moi qui espérais lui cacher toutes mes mésaventures de cette nuit pour éviter de l'exposer au danger un maximum ça s'annonce compliqué avec un un corps sur mon dos. D'habitude je mens pour pas qu'elle s'inquiète j'invente une excuse bidon, lui disant que j'étais avec une amie et qu'on a trop bu même si elle sait sûrement que c'est faux à près tout je n'ai pas ou du moins je n'ai plus aucune amie, en même temps ici personne n'a deux relation amicale sauf par intérêt et pourquoi les gens aurait intérêt à être mon amie je ne suis qu'une tueuse qui sème le chaos partout où elle va , mais bon Joy se contente de cette réponse.
Là c'est différent qu'est-ce que je vais faire, je pourrais l'ignorer ou bien tout simplement l'envoyer chiez mais je ne pense pas que se soit une solution elle va finir par me suivre entêtée qu'elle est et après ça va être la merde. Tout va trop vite mes pensées s'emmêlent.
- Aélys attend. Fis une voix au loin.
Oh encore quelqu'un qui prononce mon foutu prénom on pourrait pas me lâcher un peu.
- Oui. Dis- je en me retournant avec une pointe d'agacement dans la voie.
Je découvrit que la personne qui m'appelait n'était autre que ma charmante voisine. Elle m'énerve au plus au point. Elle à toujours quelques chose à demander et ci ce n'était que ça elle prends un malin plaisir à se mêler de ce qui ne la regarde pas.
- Et bien je voulez savoir si...
Elle s'arrêta nette en remarquant ariel ou plutôt sa dépouille sur mon dos.
- Elle...elle est morte.
- Ce ne sont pas vos affaires. Dis je le ton ferme
Elle hocha la tête, je l'avais menacé assez de fois pour qu'elle sache que quand je dis ça il faut qu'elle la ferme et change de sujet.
- je me demandais juste si vous aviez du sel ?Vous savez on en a pas mis dans nos plats depuis tellement longtemps.
Je souffla et lui donna un billet de dix euros.
- Je...vous n'êtes pas obligé.
- Je sais mais je n'en ai pas besoins j'ai fais mes courses du mois. Ne vous inquiétez pas. Mentis-je
- Si vous le dites, et encore merci. Dit elle rejoignant sa demeure.
Elle vivait dans un studio à peine plus grand que le miens avec ses trois fils âgé de 5,6 et 7 ans. Alors même si je ne l'aimais pas et qu'elle était insupportable tant pis ça me brisais le cœur de ne pas l'aider elle et sa famille. Ce n'est pas très grave si je ne mange pas pendant quelques jours je peux bien me priver. La seule chose que je ne comprends pas c'est pourquoi ces gens font des enfants je sais que ce que je dis peut paraître égoïste car oui ils ont le droit d'en vouloir et je ne juge absolument pas ceux à qui ça arrive contre leur gré. Mais c'est juste je sais que mme Gillet ma voisine a voulu chacun de ses fils même si elle savait qu'elle n'allait pas pouvoir les nourrir correctement, ni les lavait qu'il jouerait dans la terre avec des mégots de cigarettes comme tout les enfants du coin. Alors oui c'est cruel, cruel de faire des enfants dans une telle situation. Moi, j'ai renoncé à cette idée depuis longtemps pas de maris, pas d'enfant je ne peux déjà pratiquement pas subvenir et protéger une personne alors plus, ils mourraient à cause de mon insouciance de sûr.Quelques minutes plus tard :
L'ascenseur s'ouvrît sur l'étage - 2. Ici les gens sont tellement pauvre que l'on avait construit des studio en souterrains pour que ce soi moins cher et c'est là que je vit. Je marcha jusqu'à ma petite porte et l'ouvris avec quelques difficultés elle était un peu endommagé donc pour l'ouvrir il ne fallait pas hésiter à lui donner quelques coups. Une fois entrée je n'eut pas le temps de poser Ariel au sol que quelqu'un se jeta sur moi. Et ce quelqu'un n'était autre que ma petite sœur.
- Mais t'étais où putain j'ai cru que... fis telle contre moi en sanglot.
- J'étais sortis et sur la route je l'ai vu elle. Dis je en désignant Ariel.
- Mais elle est...
- Oui.
- Alors pourquoi tu l'as ramené ici putain Aélys tu vas t'attirer encore plus de problème.
Elle arborait une voie désespéré. Mon comportement l'agace et ça me tue intérieurement de voir que je ne répond pas à ces attentes mais prendre soin d'Ariel est non négociable.
- Elle mérite un enterrement. Et je sais Joy que ça pourrait m'attirer des ennuis mais écoute moi bien tu ne dois pas avoir peur, ok.
- Et si tu...
- Jamais d'accord je veillerai toujours sur toi. Dis je catégorique.
- Tu me parles comme si j'avais cinq ans on a que un ans d'écart je te signales. J'ai seize ans alors arrêtes de me traiter comme une conne tu crois que je ne sais pas que t'as des ennemis. À Hillbrow tout le monde te connais et parle de toi ces derniers temps, même au lycée. Tout le monde dit que t'es dans la merde et que tu vas pas tarder à crever à ce rythme.
- Ne les écoute pas, tu connais les gens d'ici c'est juste des rumeurs mal fondées.
Mensonge. Enfin même si c'est vrai que les gens d'ici raconte n'importe quoi pour rendre leur triste vie un peu plus intéressante c'est rumeur sont malheureusement vrai.
- Ah bon, des rumeurs mal fondées alors pourquoi t'as du sang littéralement partout, pourquoi on dirais que quelqu'un t'as mis des coups de couteaux.
Parce que c'est ce qui c'est passé Joy.
- Pare de se precopar irmãzinha.
- Comment je pourrais, j'ai peur pour toi.
- Je sais mais il faut que t'es confiance. Jusqu'à présent est ce que j'ai déjà merdé.
- Euh... tu es en sang donc ça c'est un peu faire de le merde mais bon...
- Oui arrête de jouer sur les détails. Dis je ironiquement
- Non tu n'es pas morte pour l'instant.
- Alors pourquoi tu continues à t'inquiéter. Dis je en relevant son menton de mon doigt pour que je puisse plonger mon regard dans le sien.
- Promete-me que vai prestar atençào.
Non ma soeur je ne peux malheureusement pas te promettre que je ne vais pas mourir.
- Promis.
Menteuse. Je le sais au plus profond de mon âme je peux mourir et ce soir risque peut-être d'être ma fin mais tant pis je mens pour rassurer ma petite sœur. Elle est tout ce qu'il me reste et je ne la laisserai pas s'inquiéter pour moi.Je vis ma soeur respirait un bon coup et allait s'asseoir sur le canapé pour regarder la télé.
Contente qu'elle se soi calmer.
Je décide de me déplacer avec Ariel jusqu'à un placard j'en sorti une grosse boîte. C'est dans cette même boîte que j'allais mettre Ariel ici tout le monde en avait des comme ça n'ayant pas d'argent pour un réel cercueil c'était notre roue de secours. Et franchement je me foutais de où je mettais les corps des personnes à qui je tenais car ce n'est ça qui compte ce qui compte réellement c'est la personne qui y réside ça aura beau être la pire des boîte je sais que la personne que j'aime suffira à l'illuminai. Et Ariel sera la lumière qui transformera la citrouille en carrosse. Je mis Ariel dans la boîte et la regarda une dernière fois en me rappelant ces dernières paroles « tu es une bonne personne » avait elle essayé de dire. J'aurai aimé Ariel mais l'univers ne m'a pas laisser le choix. Mais encore merci d'avoir cru en moi peu de gens le font. Et pour finir désolé, désolé de t'avoir apporté que du malheur je pensais t'aider mais comme d'habitude je détruit tout. Sur ces dernières pensées je referme la boîte.Quelques minutes plus tard :
J'étais devant la cuisine, effectivement j'avais appris en regardant l'horloge qu'il était midi passé et je m'étais rappeler qu'on était dimanche et que c'était donc pour ça que Joy n'était pas au lycée, foutu mémoire je te déteste. Je décida de préparer quelque chose pour Joy, évidemment. On en a pas assez pour deux alors je lui dit tout le temps que j'ai beaucoup manger la veille au travail comme ça elle peut manger sans aucun regret.
- On mange quoi ? me coupa ma soeur de mes pensées.
- Des pâtes je sais ce que tu vas dire: encore des pâtes. Désolé mais on a que ça. Je vais les prépar...
- Hors de question tu dois te reposer.
- Mais non qu'est-ce que tu racontes mes blessures on cicatrisaient avec le temps.
- Mhmh. Dit elle peu convaincu mais elle abandonna toute idée de protestation. Elle savait que quand j'avais décidé une chose je ne changeais pas d'avis et là j'avais décidé de faire à manger alors qu'elle que soit mon état je ferais à manger.4 heures plus tard :
Il était maintenant seize heures trente et je ne savait toujours pas ce que j'allais faire pour ce soir. Enfin du moins je savais ce que je n'allait pas faire : mettre un lapin à Mitchel. Il savait où je vivais et c'était mille fois trop dangereux et Mike lui était certe dangereux mais il n'en voulais qu'à moi c'était déjà ça et puis tout ce qu'il l'intéressait c'était de me faire du mal physiquement. Alors je vais tuer Mike personne ne saura que c'est moi, c'est un criminel de bas étage. Je vais aller au rendez vous de Mitchel lui je ne peux en aucun cas le tuer il est trop puissant dans la ville du moins et puis tout ses gars savent qui je suis. Parfait, enfin ce n'est pas vraiment parfait ce qui serait parfait ce serait de n'avoir aucun ennemi et que ma vie soit paisible. Mais bon on fait avec les moyen du bord.
Hey, merci d'avoir lu. D'ailleurs vous en avez pensez quoi de ce chapitre je trouve qu'il manquait d'action mais bon vu le prochain ( vous n'êtes pas prêts ). N'hésitez pas à me donner vos critiques sur l'histoire, la plume etc... et à la prochaine. Bisous bisous.

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Dark
RomansTout le monde disaient qu'elle était forte Tout le monde disais qu'il n'avait pas de coeur. Mais derrière ses mensonges se cachent une sombre vérité. Elle c'est Aélys une jeune fille qui n'avait pas été épargnée par la vie. Elle avait tout perdu à...