To our Angels

Adam

Cassie... Ne quitte pas mon esprit. Pourquoi, je n'ai rien fait de si mal, non ? Mes larmes coulent ma mère se redresse et me rejoins sur le lit. Elle essuya mes larmes avec un vieux mouchoir sortit de sa poche. Elle ne demande rien, elle exécute ce qui le plus juste selon elle. Essuyer mes larmes. Elle ne sait pas pourquoi, je pleure. La dernière fois remonte à environ mes dix ans, où j'ai pleuré devant elle. Elle me berçait et séchaient mes larmes. Cela et fini j'ai grandi, du haut de mes quinze ans, je suis à peu près capable de les éviter. Mais pas aujourd'hui, pas dans ces conditions. Je ne peux pas les arrêter. Je n'en ai pas l'unique remède. Cassie. La voir rien qu'une fraction de seconde. Me ferais apparaître une nouvelle image d'elle. Une toute nouvelle fraîche. La sienne. Une partie d'elle juste son oreille, une mèche de ses cheveux me suffira. Je n'ai pas besoin de plus. Juste que mes larmes s'arrêtent. Que tout arrête de tourner autour d'elle. Je ne l'aime plus, je ne comprends pas la réaction de mon corps, de mon cœur. J'aime Mia, maintenant. J'hurle que j'aime, Mia. Ma mère choquée de mes paroles se relèvent, et me laisse seul hurler n'importe quelles injures. A force de hurler dans le service, des infirmiers arrivent. Et me m'atteint de force. Je me débats violemment, une femme tombe au sol. Je ne le voulais pas, j'en pleure. Cinq hommes me tiennent, ma mère regarde par la porte vitrée. Un mouchoir couvre ses yeux. J'ai beaux hurlé son nom, elle ne bouge pas, elle part. Je les brisé. Elle ne me pensait pas si violent. Je m'étouffe presque avec mes larmes. J'ai l'impression d'être attaché au lit. Leur poids sur moi m'écrase le cœur et l'amour que j'ai envers le monde. J'ai mal, leurs poids m'arrachent la seule partie de mon cœur encore en vie. Mon cœur. Je suis seul dans mon lit a hurlé et pleuré, je suis à bout. Je n'ai jamais été dans un état si déplorable, depuis qu'on a rompu. Si, Cassie était la seule raison de ce qui m'arrive... J'ai l'impression d'être abandonné par tout le monde. En particularité par ma mère, Mia je ne l'ai pas mise au courant d'où je suis. Je dois lui dire en temps réel, là où je me trouve. Elle appelle cela être fidèle.