Noirceur de l'ombre

La neige.

5jours plus tard .

                              ALMA

5jours,ça fais 5jours que je suis enfermée dans une chambre vide,ni fenêtre ni couloir d'aération,juste un lit et une salle de bain.

Je ne sais pas si le faite de vivre chez quelqu'un que je ne connais à peine et de ne même pas savoir où je suis ou le faite que je me sois faite kidnapper et que personne le saura jamais qui me dérange le plus.

Je me sens seule dans cette chambre,encore plus qu'à mon ancienne maison,à mon ancienne maison j'avais maman avec moi,je n'arrive plus à sentir maman près de moi,ça me rends mal.

Trois fois par jours,Antonio le blond me ramène de quoi manger,il me demande si cava si j'ai besoins de quelque chose,enfin il essaye d'aborder la discussion.

Il n'as pas l'air méchant loin de la,mais je ne me sens pas capable de faire la discute avec un homme qui m'as kidnappé et qui en plus de ça ne me donne aucune explication.

Je ne mange pas les repas qu'il me rapporte,en 5jours je n'es manger que de maigre quantité mais je ne veux pas prendre le risque de me faire droguer empoisonner ou je ne sais quoi d'autre.

Comme à mon habitude je suis encore enfuie dans mon monde de pensés.

J'adore ce monde,j'adore pensé.

Pour moi pensé c'est ce crée son propre rêve c'est donner de l'alimentation à son imagination,c'est vivre comme on a envie de vivre,c'est ça la vie.

Mais quelque chose me sortis de mon monde quand le bruit des clés qui ouvrait la porte pris mon attention.

Antonio.

-ok beauté,on a pas le temps ramène toi on se casse.

Je ne trouve rien pour réagir,ni réaction ni action.

Je ne sais pas si c'est le faite que mes jambes ne tiennent plus debout,que ma tête fais tourné la pièce ou que mes yeux vont sortir de mes orbites mais je sens ma conscience s'envoler chaque seconde qui passe durant le quelle Antonio ne cesse de me fixer.

Je n'arrive plus à réfléchir,je n'es pas le temps d'analyser la situation que soudain des bruits effrayants brûlent mes oreilles,des bruits d'armes.

Antonio m'attrape le poignet et cours dans la direction des escaliers qui sont immense,cette maison et immense bordel.

Plus nos pieds dévalent les escaliers plus on peux apercevoir le jolie spectacle qui se déroule sous nos yeux,des balles qui volent de droite de gauche d'en haute d'en bas,de partout pour être honnête je sais plus distinguer d'où viennent t-elle.

En tant normal cette situation m'aurais tétanisé ou m'aurais peut être même fais pleurer mais cette migraine m'empêche de réfléchir.

mes pieds nues sont tout deux glacer par le marbre une fois enfin avoir descendu tout les escaliers.

Antonio continue sa route vers la porte mais je n'arrive plus à marcher,ma vision se noircie et mon ouïe se coupe,je sens ma tête partir sur le côté avant de sentir le choque entre mon corps et le sol.

                            KEYDEN.

Même dans un autre pays ils arrivent à nous trouver ces fils de pute,je commence même à me demander si un des leurs ne comprends pas mon équipe.