Journal Intime

Tentation et rêves

Les rêves sont pour les enfants la réalité est trop cruel pour que je puisse réver. Quand bien même je me berce d'illusions à vouloir rêvé, ma plus grande tentation refait surface.
Les rêves de bonheur ne sont plus au goût du jour et cela depuis un certain temps. Ma tentation la mort reviens, pas toujours en rêve mais elle trouve toujours un moyen de revenir en mémoire.
Je suis là tu sais ? Tu peux me parler si sa ne vas pas. Peux être quand parler te ferais du bien. Ce sont des phares qui me sont bien trop connu. Seulement les mots ne veulent pas passer la barrière de mes lèvres, restant silencieuse.

Il m'arrive de pensé, de rêver de ma tentation. Ne vous arrive t'il pas de rêver de vous, votre maison en train de brûler dans un incendie, tous les membres de votre famille en sécurité hors de la maison. Mais que vous teniez à récupérer un objet vous jettent  dans les flammes pour le récupérer moi oui. J'y ai encore rêver, récupérant ses affaire celle de mon chien, de mon Bilou, en soit elles n'ont aucune valeur marchande mais pour moi elles sont très précieuse. Mais prise au piège je ne peut pas sortir, je suffoque, je manque d'air. L'air me quitte petit à petit je m'assis là où je suis je ne peux rien faire. Le brasier se rapproche de moi. Je suis à bout mon corps me quitte dans mon esprit je vois passer ma vie devant mes yeux, les bon moment mais les regret refont surface. Mais ses affaires sont là prés de moi, tout vas bien ils sont en sécurité. J'ai accepter la réalité, je vais mourir et sa ne fais rien je vais te retrouver alors qu'importe. Finalement je suis heureuse. Que tu reste à été mon seul vœu mais on ne me l'a pas accorder et tu es parti alors moi aussi je partirais avec l'une de tes affaires ton doudou dans mes bras contre mon cœur. Je vais te rejoindre. Puis trou noir je ne me réveillerais plus. Voila l'un de mes plus grand rêves.

Je vais vous recomptez mon second plus grand rêves. Je suis triste je ne sais pas comment mais je me trouve au bord d'une falaise, je m'assit les jambes dans le vide, je sens mes larmes couler le long de mes joues je ne peux pas les retenir éclatant en sanglot. Sa mort ma plus affecter que je l'aurais voulu, je ne peux rien y faire. Je me relève, me retourne dos au vide et me laisse tomber dans le vide sentent seulement l'air sur moi. Malgré que je sois sur le point de toucher l'eau je ne l'a sentis pas. Je ne sentais ni ne voyais, j'étais morte.

Pour ceux qui me connaisse dans la vrai vie, ne vous inquiétez pas je vais bien, ce n'est rien. Même si parfois j'aimerais que ne sois pas que des rêves.