( Zafeel x Oc ) Atenas - Be Venomously in Colombian . Feat. Zafeel & Le Loat

"ta voix était inscrite dans ma tête"

(Thaïs sort de la voiture en vitesse pour rejoindre Aristide qui parle au chauffeur )

Aristide : vous voulez de l'aide pour le canapé ?
Chauffeur : non vous inquiétez pas
Thaïs : merci beaucoup monsieur j'vous ouvre les portes alors ( elle retourne dans la voiture pour prendre son sac et ses clés, elle appelle les garçons pour venir, elle voit au loin qu'Aristide aide finalement le chauffeur à porte le canapé)
Thaïs : venez ! ( elle ouvre l'ascenseur pour eux et sert de cale porte jusqu'à son appartement )

Aristide : enfin ! ( il se craque le dos et se rappelle d'un truc en voyant le carton, il se retient de rire et se gratte le front )
Aristide : Thaïs...ton bras..
Thaïs : quoi mon bras...Ah merde ( elle se racle la gorge avant de continuer d'un ton sarcastique) oh nooon j'peux pas monter le canapé mais qui va bien pouvoir m'aider mmmhhh
Aristide : tu m'dois une faveur à vie
Chaffeur : monsieur, madame j'vais y aller j'ai encore des livraisons bonne soirée
Thaïs : merci vous aussi attendez j'vous accompagne ( elle le suit jusqu'à la porte d'entrée puis la ferme derrière lui )

Aristide : ES QUE T'AS DES TOURNEVIS
Thaïs : j'ai même pas de spatule et tu veux que j'ai un tournevis ?
( Aristide soupire et Thaïs lui sort un regarde noir )
Aristide : t'as un couteau au moins ?
Thaïs : ça oui ! ( elle avait a peine enlevé ses chaussures qu'elle court déjà à droit et à gauche car Aristide est..exigeant sur le couteau )

Aristide : heeu t'en a pas un a beurre ?
Thais : mais Ari c'est le 5 eme couteau visse avec tes doigts putain..( elle rigole à sa propre blague ce qui marche sur Aristide )
Aristide : mes..doigts ? ( il n'arrive même plus à parler, il se relâche quelque secondes plus tard et la regarde du coin de l'oeil encore rigoler à sa blague en cherchant le fameux couteau, la voir rigoler est une bénédiction à ses yeux )
Thaïs : tiens, si lui aussi marche pas c'est toi le soucis
Aristide : à la base j'suis même pas sensé le faire en faite

Thaïs : tu veux pas me demander ta faveur ?
Aristide : j'en ai plus besoin ( il se lève du sol jusque la à côté du canapé démonter) ce que je voulais faire plus que tout j'le peux le faire quand je veux ( La jeune femme s'accroche au t-shirt tout froissé d'Aristide à la taille qui l'embrasse sur ses lèvres puis se déplace dans le cou )

Thaïs : t'es pas croyable, j'vais devenir folle ( elle le tire vers elle, vers le plan de travail derrière eux, leur passion ne les arrêtent pas et Aristide la porte pour la poser sur le comptoir )
Thaïs : aïe aïe aïe ( elle enlève son poignet foulé du comptoir pour et être plus à l'aise et le mettre autour de son...ami ? )

Thaïs : attend attend ( elle repose sa tête sur son épaule et Aristide sent qu'elle est tendue )
Aristide : quoi ? ( il s'écarte pour l'a laisser descendre de son perchoir, elle replace ses mains sur ses hanches et fait de même)
Thaïs : es ce que..on est...ensemble mais...pas ensemble ensemble ?
Aristide : toi tu veux ?
Thaïs : tu trouves pas que c'est brusque ? J'veux dire j'ai l'impression de te connaître depuis des années alors que..pas vraiment
Aristide : j'tai pas parlé de ça..
Thaïs : quoi ?
Aristide : j'ai passé une année de collège dans un internat..es ce que tu t'en sou-

Thaïs : ARISTIDE MAIS OUI la conne ! On est même allé au même lycée pour se retrouver mais t'es reparti à Londres pour le job de ton père j'y crois pas de pas avoir faire le rapprochement la débile
Aristide : pourtant moi j'tai reconnue à la seconde ou t'as parlé, ta voix était inscrite dans ma tête..( les Émotions tournent dans le ventre de Thaïs qui la rende émotive)
Aristide : attends pourquoi tu pleures ?

Thaïs : j'suis sensible désolé j'pensais jamais te revoir t'étais la personne qui m'a aidé à supporter l'internat, le lycée, tout quand t'es partie j'me rappelle encore de mes nuits à vouloir demander à ma mère de faire une année à Londres
( Aristide l'a prend dans ses bras aussi fort qu'il peu, il aime pas la voir pleurer)
Aristide : noon pleure pas, maintenant on est réunis non ?